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20 Sur 20 Pour L’enseignante 06

Category : Genel

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Anal

Traduction d’un texte de Usm1carbine.

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Ce texte comprend de la soumission féminine, de la contrainte, de l’esclavage et des relations interraciales. Si votre esprit est en contradiction avec ces thèmes, ne perdez pas votre temps à le lire.

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Gia dort sur le canapé. Un coup à la porte la fait sursauter. Les yeux à moitié ouverts elle se dirige vers son entrée. Elle regarde à travers le judas et voit Buck. Immédiatement elle ouvre, oubliant sa tenue débraillée, ses cheveux en pagaille. Buck est là! Elle se précipite dans ses bras et l’embrasse. C’est alors qu’elle se rend compte qu’il n’est pas seul. Elle voit une femme noire derrière lui.

– Qu’est-ce qui se passe Gia? Tu m’as demandé de venir aussi vite que je le pouvais.

Gia se laisse lentement tomber sur ses pieds alors qu’elle reconnaît Denise, l’employée de la cafétéria que Julius lui a montré en train de baiser Buck. Son cœur se serre en se rendant compte que l’homme ne sera pas le sien, du moins pas ce soir. Elle se retient de pleurer et les invite à entrer. Elle regarde la femme noire qui suit le concierge. Les deux s’assoient côte à côte sur le canapé.

– Alors qu’est-ce qui ne va pas? Pourquoi c’était urgent que je vienne?

Gia combat ses larmes alors qu’elle a tant envie de sa grosse queue noire.

– J’ai eu une mauvaise semaine Buck, j’avais besoin de TE voir.

Elle insinue qu’elle avait besoin de le voir seul, mais il ne semble pas s’en soucier. Elle tombe à genoux devant lui et pose sa tête sur ses genoux. Denise la regarde tandis que Buck lui caresse doucement la tête. Avec sa tête cachée entre ses mains, elle commence à embrasser la queue dure de l’homme à travers le pantalon. Son envie grandit encore. C’est alors qu’elle entend Denise dire :

– Qu’est-ce que c’est que cette merde Buck? Que fais-tu à cette salope de professeure blanche.

Gia sourit intérieurement d’avoir agacé Denise. Elle espère que Buck va la renvoyer et restera avec elle. Le concierge dit alors :

– Attends Denise, Gia a besoin de réconfort, elle a eu une rude semaine. Je t’ai dit ce qui s’est passé avec Julius et ses copains.

La tête de Gia se relève :

– Buck, tu lui as tout dit?

Les larmes lui montent aux yeux en sachant que maintenant Denise pourrait lui faire du mal comme les autres.

– Ne t’inquiète pas Gia, Denise ne dira rien.

Elle sent une main sur son dos qui glisse jusqu’à ses fesses pour doucement les caresser. Puis la main s’introduit sous la ceinture du pantalon. Elle sent la douceur des doigts qui parcourent son cul nul et elle sent des ongles longs. C’est Denise!

– Tu sais Buck, cette petite chienne blanche a un beau petit cul. Dit la femme noire.

Elle serre la chair tendre et sa main continue plus bas. Elle demande :

– Que penses-tu si nous en profitions tous les deux?

Gia a une expression choquée en se rendant compte de ce qui va lui arriver.

– Je… je n’ai jamais été avec une femme avant.

L’idée ne lui semble pas désagréable, mais elle a un peu peur.

– Tu ne veux pas goûter une chatte noire petite salope? Qu’est-ce qui te fait penser que je vais vouloir de la chatte gluante que tu as entre tes jambes? Mais, peut-être si tu me lèches bien, je pourrais la vouloir.

Gia sent la main de Denise atteindre ses petites lèvres. Elle sursaute.

Elle a vu beaucoup de femmes nues dans sa vie, mais jamais une noire. Elle est à la fois ravie et inquiète. Denise l’attire vers ses pieds. Ses mains parcourent son corps alors qu’elle la regarde dans les yeux.

– Elle est un petit peu maigre. Dit Denise en essayant d’ouvrir son chemisier.

Gia jette un regard à Buck en espérant qu’il arrête tout cela. Mais elle peut le voir frotter son entrejambe et elle sait qu’il ne fera rien. Elle se tourne vers Denise pour voir la bouche de celle-ci se poser sur un de ses seins et aspirer.

Gia est nerveuse, c’est tout nouveau pour elle. Elle pose ses mains sur le dos de la femme noires qui sucent ses seins. Elle ferme les yeux et gémit.

-Hé Buck, les seins de cette salope sont si petits que je peux en tenir un entièrement dans ma bouche.

Elle rit avant de reprendre un nichon dans sa bouche pour montrer à l’homme qu’elle a raison. Gia voit qu’elle dit vrai et elle sent le nez de Denise contre sa gorge. La femme noire suce ses seins pendant un moment puis s’arrête et dit :

– Je vais te montrer ce qu’on appelle des nichons salope!

Elle enlève son haut pour révéler sa grosse poitrine qui fait du 115 C au moins. Denise prend ses seins et le fourre dans le visage de Gia.

– Allez, à toi chienne!

Gia regarde Buck, puis ouvre la bouche pour prendre un des mamelons.

Buck aime le contraste de la bouche blanche sur le sein noir. Sa queue se dresse quand il regarde Gia sucer les tétons. Denise attrape la tête de la professeure et essaie de la gaziantep escort sitesi presser pour que plus de sein entre dans la bouche. Gia essaie de reculer mais l’autre femme est trop forte.

– Suce salope de professeure! Vous nous snobez toujours à la cafétéria vous les blancs. Mais maintenant c’est moi qui te regarde de haut sucer mon sein.

Gia sent la colère de Denise qui pousse son gros sein dans sa bouche.

– Tu crois que parce que tu as été à l’université, tu es trop bien pour faire plaisir à une femme noire. Suce bien! J’aurai d’autres choses à te donner à sucer plus tard.

Gia aspire le mamelon pour essayer de plaire à Denise. Elle regarde Buck qui a sorti sa belle queue et qui se branle. Elle voit la main se déplacer le long de l’engin et elle souhaiterait que ce soit sa bouche. Elle le veut. Elle le veut si ardemment qu’elle est prête à faire plaisir à sa copine pour l’avoir.

– Qu’en dis-tu Buck, si nous présentions à la petite professeure une chatte noire?

Denise fait un pas en arrière et baisse son pantalon. Gia regarde le buisson de poils noirs et bouclés qui se présente devant elle.

D’un geste du bras, la femme noire enlève tout ce qui se trouve sur la table basse et se couche dessus sur le dos. Elle lève les jambes et les écarte et montre du doigt à Gia qu’elle doit se mettre à genoux entre. Les petites lèvres de sa chatte sont légèrement écartées. Le contraste entre la peau d’un noir profond et les plis intérieures roses de la chatte hypnotise Gia. Elle n’a jamais vu de sexe de femme noire auparavant.

– Hé bien! Qu’est-ce que tu attends salope?

Denise écarte ses lèvres largement. Gia regarde Buck qui se masturbe encore en les épiant. Elle respire l’odeur musquée de la chatte qu’elle approche. Sa langue effleure les petites lèvres et les doigts de Denise en même temps.

Gia a déjà goûté sa chatte, et surtout ces derniers temps. Denise a, à peu près, le même goût même s’il est un peu différent. Elle a un énorme clitoris qui pointe sous son capot de protection. Gia passe sa langue dessus et elle peut entendre Denise gémir.

– Oh oui, mange-moi salope!

Gia obéit et pénètre la chatte avec sa langue. Denise se tortille sur la table. Elle jette ses jambes sur les épaules de l’enseignante. Celle-ci sent les pieds dans son dos alors qu’elle s’applique à manger la chatte pour faire jouir la femme noire. Les mains de Denise saisissent ses cheveux pour pousser la bouche contre son sexe. Les gémissements s’amplifient.

Gia n’a pas remarqué que Buck s’est levé, mais elle sent que l’on descend son pantalon sur ses jambes. Puis elle sent la grosse queue se positionner contre son cul serré. L’homme prend du jus de sa chatte pour lubrifier sa bite puis elle sent l’engin glisser entre ses fesses et pénétrer son trou du cul serré.

Elle mange la chatte de Denise avec application et ses efforts sont récompensés quand la femme crie qu’elle est sur le point de jouir. La grosse bite de Buck est sur le point de provoquer un orgasme à Gia en même temps. Les deux femmes jouissent au même moment. Gia essaie d’avaler le plus de jus qui tombe sur son menton tout en criant sa jouissance. Elle lèche et nettoie la chatte noire pendant que le concierge martèle son cul. Elle recule son bassin pour accompagner ses coups de rein. Quand il est sur le point de venir, Buck sort sa bite et gicle sur le cul de Gia en gémissant. L’enseignante quitte la chatte de Denise et se tourne pour nettoyer et avaler le reste de sperme sur la belle queue noire.

La femme noire pousse Gia à quatre pattes et se place derrière elle pour lécher le sperme de Buck sur les fesses exposées. Buck se remet à bander et se déplace derrière Denise. Gia aurait voulu sentir une nouvelle fois la grosse queue en elle, mais la langue de la femme noire lui fait du bien. Elle se déplace de la raie de son cul à sa chatte humide. Denise la force à se mettre sur ses coudes, le cul bien en l’air pour fournir un accès plus facile. Buck pénètre son amie, Gia l’entend crier et sa langue arrête momentanément de la lécher. Puis elle se remet au travail sur sa chatte et trouve le clitoris qu’elle se met à sucer.

Gia commence à balancer son corps en arrière pour répondre aux coups de langue. Ses mamelons traînent par terre et la blesse, mais elle sent un nouvel orgasme se former. Elle a du mal à reprendre son souffle après avoir joui, ses seins lui font mal. Elle entend Denise laper son jus. Puis la femme noire s’arrête. Gia comprend qu’elle va jouir elle aussi. Buck pousse une dernière fois, sort de la femme qui a un orgasme et éjacule sur elle. L’odeur musquée de sexe emplit la pièce. L’enseignante adore cette odeur maintenant.

Buck se lève et se laisse tomber sur le canapé, épuisé. Il dit :

– Je pense que vous avez besoin de vous nettoyer l’une l’autre.

Il sourit alors que les gaziantep escort forum deux femmes se regardent. Denise s’allonge sur le sol et Gia prend place sur elle en 69. Pour cette fois, elle a une chatte à la place d’une queue en face de son visage. Elle nettoie le sperme de Buck avec sa langue, savourant le goût. De son côté Denise lape sa chatte.

Les deux femmes sont tellement occupées qu’elle ne remarque pas que Buck bande à nouveau. Il passe derrière Gia et Denise sent ses couilles glisser sur son front et son nez quand il pénètre la chatte humide de l’enseignante. La femme noire lèche les grosses couilles de concierge pendant qu’il baise Gia. Trois séries de gémissements retentissent dans la pièce. La professeure sent les gros mamelons durs de Denise frotter son ventre lisse. C’est une chose qu’elle n’a jamais connue auparavant. Mais elle décide de profiter de chaque moment de plaisir qu’elle peut obtenir du couple noir.

Buck saisit sa taille et pousse sa bite au fond de son vagin pour éjaculer. Puis il se retire, laissant Denise nettoyer le sperme qui suinte. Il s’assoit de nouveau sur le canapé et regarde les deux femmes qui se lèchent tout en caressant sa bite.

Mais bientôt Gia se déplace à côté de Denise. Les deux femmes ont besoin de reprendre leur souffle. Gia regarde le corps d’ébène de l’autre femme, ses seins énormes avec leurs tétons dressés. Puis elle voit Denise se mettre à genoux et se déplacer entre les genoux de Buck. L’enseignante ne veut pas qu’elle suce la grosse bite sans elle alors elle rejoint la femme et elles se battent presque pour prendre le gourdin en bouche.

Au bout d’un moment elles se mettent d’accord et se partage la bite. Leurs lèvres se rencontrent autour de la tige dressée de Buck. Elles se partagent aussi ses couilles qu’elles massent, câlinent et lèchent consciencieusement. Le concierge éjacule une nouvelle fois sur leurs visages. Les femmes s’appliquent à tout bien nettoyer.

Après un court repos, le couple noir s’habille est s’en va. Gia les supplie de rester pour la nuit, mais ils ne veulent pas. Avec mélancolie, elle les regarde s’en aller. Puis elle monte à l’étage pour prendre une douche avant de s’effondrer sur son lit, une serviette enroulée autour de son corps. L’alcool et le sexe ont raison d’elle et bientôt elle s’endort. Elle rêve de Buck et même de Denise dont le souvenir reste agréable.

Durant le week-end, elle essaie d’appeler Buck plusieurs fois. Mais elle tombe toujours sur son répondeur. Elle suppose alors qu’il est chez Denise. Le lundi matin, elle le cherche à l’université, mais elle apprend qu’il a pris un jour de congé. Son cœur se serre. Elle envisage de prendre elle-même un jour de congé maladie, mais comme elle n’avait pas travaillé vendredi après-midi, elle ne veut pas exagérer. Alors, elle se dirige vers sa première classe.

Alors qu’elle tourne dans un couloir pour descendre l’escalier vers sa salle de classe, elle sent quelqu’un pincer son cul. Elle se tourne et voit un garçon qu’elle ne connaît pas.

– Que pensez-vous faire jeune homme?

Elle pose la question d’un ton sévère, en essayant de se montrer sûr de soi. Mais le garçon la pousse dans les toilettes et sa main se pose et serre son sein droit.

– J’ai besoin d’une petite pipe professeure. Robert m’a dit que vous aimiez sucer les queues de noirs.

Gia a peur une fois de plus, encore un autre garçon à qui elle va devoir se soumettre. Il l’emmène dans la dernière cabine et la pousse à l’intérieur pour qu’elle s’asseye sur la cuvette des WC. Il ferme la porte et descend sa braguette. Gia reste assise et voit une queue noire apparaître. « Elle n’est pas vilaine » pense-t-elle. Les mains du garçon ouvrent son chemisier et baisse son soutien-gorge pour sortit ses seins. Il les tripote et présente sa bite à sa bouche. Gia avale le membre.

Elle n’a pas eu de bites depuis vendredi soir, alors elle en a envie. Et bien que celui-là ne soit pas celui qu’elle aurait voulu, elle s’applique et suce la queue que le garçon enfonce plus profondément dans sa bouche. Bientôt son gland touche le fond de sa gorge. Le jeune homme baise sa bouche tout en pinçant ses mamelons encore douloureux du vendredi. Ce n’est pas la queue de Buck, mais celle-ci est belle et jeune. Elle essaie de le faire éjaculer, non seulement pour en finir, mais aussi pour goûter la semence mâle une fois de plus. Elle grimace alors qu’il s’acharne sur ses tétons, et bientôt elle sent le foutre chaud qui inonde sa bouche. Elle avale.

Le garçon recule et elle le nettoie alors qu’il libère ses seins douloureux. Enfin il range sa queue ramollie en disant :

– Merci professeure, Robert avait raison, vous êtes une bonne suceuse.

Il la laisse là, assise sur la cuvette. Ses seins lui font mal quand elle remet son soutien-gorge. Puis elle boutonne son chemisier. escort gaziantep Elle vérifie rapidement l’état de son visage et de ses cheveux avant de se précipiter vers sa classe où elle arrive cinq minutes en retard.

Toute la matinée, elle réfléchit à demander une mutation pour se sortir de ce piège. Elle sait que tôt ou tard l’administration de l’université saura. Mais, secrètement, elle aime cette attention qu’elle reçoit de tous ces possesseurs de bites noires.

A l’heure du déjeuner, elle va à la cafétéria où c’est son tour de surveillance. Elle regarde la salle et se demande combien de ces garçons ont eu une relation sexuelle avec elle. Soudain elle sent quelqu’un l’attraper par le bras et la tirer vers le bas sur un siège. Elle voit le visage de Julius lui sourire.

– Rejoignez-nous Gia!

Elle regarde tout autour et voit ses amis assis. La main du garçon se pose sur son entrejambe et masse sa chatte à travers le pantalon.

– Je t’ai manqué professeure? C’était un long week-end.

Gia est tendue. Un autre garçon prend le siège à côté d’elle et fait monter sa main sous son chemisier, puis il la passe sous la ceinture de son pantalon, et dans sa culotte pour atteindre sa chatte humide.

Elle reste assise, complètement figée. Elle regarde autour d’elle pour voir si quelqu’un remarque quelque chose. Mais toutes les autres personnes dans la cafétéria continuent leurs conversations comme si rien ne se passe.

– Hé Julius, cette salope a un clito bien dur.

Les doigts du garçon dansent sur son clitoris et elle sent qu’elle commence à bien mouiller.

– Je pense qu’elle a besoin d’une bonne queue. Qu’en penses-tu professeure?

Elle est humiliée, car elle est consciente qu’elle a laissé tout ça lui arriver. Elle est devenue un jouet de sexe, une esclave des bites noires, une salope qui en veut toujours plus. Le doigt sur son clitoris lui fait pousser un petit cri. Elle a des bouffées de chaleur, et un orgasme se construit dans son ventre. Elle sait que si elle jouit ici elle ne pourra jamais faire face à la situation.

– Retrouvez-moi à l’atelier automobile après le déjeuner! Murmure-t-elle en se tortillant pour déloger la main dans son pantalon.

Puis elle se lève et s’en va, le visage tout rouge de son humiliation.

A la fin du déjeuner, Gia va jusqu’à l’aile où se trouve l’atelier mécanique. Elle n’a pas de classe dans la prochaine période et personne ne viendra à l’atelier avant quatorze heures. Elle espère pouvoir prendre soin des garçons sans se faire attraper. Elle regarde à travers la porte ouverte et se rend compte qu’il n’y a que deux garçons. Ils sourient quand elle s’approche, contents de savoir qu’elle va faire tout ce qu’ils lui demanderont.

– Enlève tes fringues professeurs ou préfères-tu qu’on les arrache?

Ils rigolent pendant qu’elle commence à se déshabiller. Une fois qu’elle est nue, ils l’emmènent vers une banquette qui a été retirée d’une camionnette et ils lui demandent de se coucher dessus sur le dos. Les deux garçons prennent position à chaque extrémité.

Celui qu’elle ne connaît pas se baisse sur la banquette. Gia entend un clic et le dossier est baissé et fait une sorte de lit. Julius attrape avec ses mains ses deux seins pour les serrer. Elle grimace de douleur.

– On dirait que tes seins ont été frottés sur un tapis. Tu as été baisée sur un tapis Gia?

Il se met à rire tout en tordant ses tétons déjà douloureux. Elle glapit. Les deux garçons sortent leur bite. Elle jette un regard à chacune et salive. Elle est vraiment devenue accro à ces queues noires.

– Allez Michael, prends le trou que tu veux. Ça ne dérange pas Gia, n’est-ce pas?

Julius recommence à rire en secouant la tête et en sachant qu’elle n’a rien à dire en la matière. Il se baisse pour porter son épaisse queue aux lèvres féminines. Son membre s’enfonce dans sa bouche alors que l’autre garçon pénètre sa chatte. Ça pousse la bite au fond de sa gorge.

– Oh oui Gia, prend ma bite au fond de ta gorge. Tu es une bonne professeure blanche suceuse de bites.

Il se retire un peu puis enfonce à nouveau son sexe dans sa gorge. A chaque fois, Gia sent ses couilles frapper son nez.

L’autre garçon est inexpérimenté, mais l’épaisseur de sa bite étire sa chatte à chaque poussée. Ils la baisent en rythme, de plus en plus durement. A chaque fois que le garçon pénètre violemment sa chatte, son corps remonte sur la bite de Julius. Elle prie pour que ça se termine, mais son corps ne le veut pas. Julius est le premier à jouir, inondant sa gorge de son sperme épais. Elle avale alors que la bite ramollit entre ses lèvres. Ensuite l’autre garçon la fait jouir et gémir alors qu’il se vide dans son ventre.

Julius la force à nettoyer la bite de son copain. Elle obéit et lèche le sperme encore chaud sur son sexe. Ensuite les garçons rangent leur bite et laisse Gia sur la banquette. L’enseignante s’essuie la bouche et se rhabille. Ensuite elle va dans la salle des professeurs. Elle passe le reste de la journée sans incident.

Sur le chemin du retour chez elle, elle se maudit de céder si facilement à ses désirs. Elle a été violée, mais ils savaient qu’elle le voulait. Arrivée à la maison, elle se met à pleurer.

A suivre…

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Les malheurs de Rémi

Category : Genel

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Amateur

Rémi était accoudé au bar. Une bière en main à tenter d’oublier le mauvais sort qui l’accablait depuis 12 mois. Un an déjà qu’il avait été licencié, ses primes de chômage achevaient et il savait que s’il ne trouvait pas un emploie au plus vite, les prochains mois seraient difficiles avec une femme à la maison et une fille aux études.

À 43 ans cela devenait de plus en plus difficile car les jeunots avaient la cote auprès des compagnies. Sa vie était cousue d’erreurs, la première avait été de mettre enceinte une fille de 16 ans alors qu’il en avait 25. Le détournement de mineur lui pesant au bout du nez, il avait accepté d’épouser Mélissa sous la contrainte de son beau père laissant Mélissa sous l’illusion qu’il s’agissait d’un mariage d’amour.

Être mère à 17 ans affecta grandement Mélissa et leur union connu des moments difficiles au début. Comme le revenu de Rémi était tout de même respectable, elle profita du confort qu’il pouvait lui apporter. Karina ayant commencée l’école, Mélissa entreprit de se refaire une condition physique en s’entrainant au gym régulièrement. Sa détermination porta fruit si bien qu’à 34 ans elle avait acquit un corps à faire bander un curé.

Blonde aux yeux bleus, ses 125 livres se justifiaient par ses 5’3”. Elle volait souvent la vedette à sa fille avec son air gamine quand cette dernière organisait des soirées à la maison, on la prenait souvent pour la grande sœur. Rémi avait un tempérament jaloux et n’appréciait pas les regards qu’on posait sur sa femme. Plusieurs prises de bec en résultèrent, aussi quand lors d’un party de compagnie son patron fit des avances à Mélissa, il fit une scène devant tout le monde.

Le lundi matin quand il entra au bureau, ses effets personnels avaient été mit dans une boite et une prime de congédiement l’attendait. Quand il retourna à la maison et expliqua la situation à Mélissa, une chicane éclata. Elle lui reprocha son engueulade avec son patron non seulement pour sa jalousie mais aussi par son raciste envers Mr. Wilson qui était noir.

Rémi reçu sa sentence le soir même, Mélissa lui refusa le privilège de lui lécher la chatte. Depuis presque un an il n’avait eu aucune pénétration permise. À cause de son fort besoin de sexe, Mélissa lui avait permit de se masturber pendant qu’il lui léchait la chatte. Quand elle avait jouit, elle lui tournait le dos le laissant s’organiser avec son plaisir. Rémi était là à boire, racontant ses déboires et ses doléances envers sa femme au barman quand un colosse assit à ses cotés intervint. Rémi serra les dents quand il vit le géant noir mais du se montrer aimable quand Tim Moore lui fit part d’une possibilité de travail.

Leur échange fut profitable et Rémi eu une entrevue pour le lendemain. Rémi rentra chez lui fier d’annoncer la bonne nouvelle à sa femme. Le soir venu quand il se colla sur sa femme, cette dernière lui fit comprendre qu’il devrait attendre le résultat de la rencontre avant qu’il puisse espérer un changement dans leurs relations.

Le lendemain Rémi se rendit à son rendez-vous comme prévu. Il n’en croyait pas ses yeux quand une jeune fille à peine sortit de l’adolescence vint l’accueillir habillée toute en noir et blanc. Elle portait un mini short noir moulant parfaitement sa chatte et ses fesses par dessus des collants blancs, un top blanc transparent laissait voir un soutient gorge noir en forme de main qui laissait voir une partie de ses seins blancs. Ses cheveux fixés en queue de cheval étaient attachés avec un ruban noir et ses lèvres noircies allaient de pair avec ses souliers à talons hauts noirs.

Elle lui fit signe de prendre place sur la chaise installée à coté de la porte du patron. Bien que la porte soit fermée, Rémi pouvait entendre des lamentations provenant du bureau. « S.V.P. Mr. Moore, j’ai besoin de ce travail – Désolé Francis mais j’ai déjà quelqu’un d’intéressé par ton boulot et au prix que je paye j’exige une obéissance totale et cela ne fait pas partie de tes qualités, Bon maintenant assez les jérémiades, j’ai un rendez-vous. Si tu changes d’attitude tu sais ce que tu as à faire ».

La porte s’ouvrit et Rémi vit sortir un jeune homme tout en larmes suivit du patron. » Francis, tient apporte ça avec toi au cas où tu voudrais revenir un jour » .Rémi regarda le jeune homme s’éloigné avec une boite sous le bras puis entra dans le bureau sous l’invitation de Mr. Moore. « Je vais être bref, j’ai une grosse journée, voici j’ai besoin d’un assistant pour la comptabilité, j’offre $55,000.00 la première année avec un ajustement de $5,000.00 à chaque année plus 3 semaines de vacances, assurances et fond de pension inclus. J’exige un rendement normal mais une obéissance totale, tu as la fin de semaine pour y penser, si tu es intéressé présente toi lundi matin 9heure, ma secrétaire te montrera ton bureau avec le travail à faire ». Mr. Moore lui serra la main et partit.

Rémi était médusé, il n’avait pas la chance de parler et maintenant il devait prendre une décision, il avait hâte d’en discuter avec Mélissa. Quand il parla de l’offre escort à sa femme, celle-ci s’écria « J’espère que tu vas accepter mon chéri. Nos finances ne permettent pas que tu refuses un tel poste -Oui mais il ne m’a pas dit qu’est-ce qu’il entendait par obéissance absolue — Peu importe, si tu as envie de retrouver tes droits à ma chatte, c’est un sacrifice que tu devras faire — Je vais accepter pour te plaire mon amour — Bonne décision, pour ça je vais t’offrir une petite gâterie ce soir.

Ce soir là Mélissa ouvrit ses cuisses pour son mari. Le pauvre Rémi n’avait pas sentit la chaleur d’une chatte depuis plus d’un an et ce qui devait arriver arriva, deux trois aller retour et il avait éjaculé. « Ah non, espèce d’égoïste, je n’ai même pas eu le temps de jouir –Je m’excuse mais ça faisait si longtemps que je n’ai pas pu me retenir. — Je vais te pardonner si tu prends bien soin de ma chatte — Mais! — Y a pas de mais, fais ce que je te dis sinon ça pourrait prendre un bon bout de temps avant que tu puisses t’en approcher ». Rémi hésita un moment, elle n’avait jamais eu cette exigence et cela le répugnait beaucoup. « Je n’ai pas toute la nuit, je suis fatigué, vite au boulot »

Beurk! Rémi eu un haut le cœur en léchant sa première charge de sperme. « Tu as intérêt à t’y habituer étant donné que c’est la seul façon que tu peux me satisfaire et mets y un peu plus d’ardeur ». Mélissa ne mit pas longtemps avant de sombrer dans un terrible orgasme. «Ce n’est pas juste, vous avez des orgasmes qui dure longtemps alors que nous ça dure à peine 15 secondes — je sais mon chérie mais il y a toujours moyen de remédier au problème. — Comment? — Si tu acceptes de te soumettre à moi, je peux doubler ton temps de jouissance. Je trouve que je suis déjà pas mal soumis. Tu pourrais commencer maintenant. — Comme tu veux, c’est toi qui vois. »

Rémi était songeur. Sa queue avait reprit de la vigueur suite à la proposition de sa femme. Il n’avait pas grand chose à perdre, déjà que sa femme lui refusait la pénétration. « Que veux- tu dire par me soumettre à toi? – Je serai en charge et tu devras m’obéir en tout temps. » Son érection grandissant Rémi savait qu’il ne pouvait résister devant la perspective de plus de jouissances. « Ok! J’accepte — Bon mets toi à genoux et demande moi si je veux bien être ta maitresse et prendre tous les moyens qu’il faut pour faire de toi mon soumis. — S.V.P. maitresse voulez-vous faire de moi votre soumis? – Demandez avec un tel désir, j’accepte.»

Le lundi matin, Mélissa l’obligea à aller travailler avec sa culotte qu’elle avait portée la veille.

Rémi mal à l’aise dans sa culotte de nylon, s’installa à son nouveau bureau. « En passant je m’appelle Julie, je suis la secrétaire de Mr. Moore. Voici les dossiers que tu dois vérifier. Ha oui! J’oubliais, Tim as un penchant pour la famille alors tache de mettre des photos de ta femme et de tes enfants sur ton bureau; si tu en as bien sur, il appréciera. Tim rentra de son voyage le jeudi matin. Un sourire se glissa sur son visage quand il vit Rémi installé prêt de la porte de son bureau. Il alla déposer ses affaires et revint saluer son nouvel employé. Après une courte conversation de politesse Tim prit une des photos dans ses mains.et malicieusement demanda « Ce sont tes filles? Elles sont mignonnes — non celle que vous avez, c’est ma femme et l’autre c’est ma fille.

Pendant ce temps là, Mélissa profitait de la journée pour magasiner et acquérir tout ce qu’il lui fallait pour son statue de maitresse. Le soir venu quand Rémi rentra du bureau, il du embrasser les pieds de sa maitresse, Mélissa l’obligea à se dévêtir. « J’imagine que tu trouves que ça va un peu vite mais plus vite tu accepteras ton rôle comme tu l’as promit hier plus vite ton plaisir sera augmenté. À partir de maintenant tu vas porter de nouveaux sous-vêtements. — Maitresse la journée a été difficile pour moi dans votre culotte je ne peux pas mettre ça, ce sont des culottes de femmes et roses en plus. — Je les ai choisit à ta grandeur tu vas être plus confortable et puis tu n’as rien à dire, tu mets déjà en doute les décisions de ta maitresse, tu seras punis pour ton insolence. — Pardon maitresse, je ne voulais pas vous offenser. »

Rémi avait hâte au couché, il ne l’avait pas dit à sa femme mais il avait été bandé une bonne partie de la journée et était très excité.

Une semaine avaient passé quand devant les reproches continuelles de Sue Yong, Francis décida de donner les vraies raisons de son renvoi. Sue Yong était furieuse devant les exigences de ce porc qu’était Tim Moore comment avait-il pu penser qu’elle aurait accepté de s’abaisser à baiser avec lui un noir. Le temps fit son œuvre, les deux sans emploie les comptes s’accumulèrent et un matin pendant que Francis était partit, Sue répondit à la porte et vit un huissier lui remettre un avis de saisie.

Dans les coutumes chinoises les femmes font tout pour leur mari, elle ne perdit pas une minute et partit rendre visite à Mr. Moore pour lui dire escort bayan sa façon de penser. Quand Tim l’aperçu dans le cadre de porte de son bureau, l’irritation se vit sur son visage. « Vous n’êtes pas habillée convenablement pour demander une audience alors fiché le camp d’ici, Julie appelle la sécurité ». Furieuse d’être rabrouée ainsi Sue tourna les talons et rebroussa chemin.

Francis trouva son amie en pleine jonglerie. Leur vie bascula à jamais quand il lui expliqua qu’il n’avait pas pu trouver les fonds nécessaires pour rembourser l’hypothèque. Sue croisa le regard suppliant de Francis et sans qu’ils n’échangent un mot ils abdiquèrent. Sue larme aux yeux regarda Francis monté à l’étage, elle comprit le sacrifice qui lui était demandé quand Francis redescendit avec la boite donné par Mr, Moore. Nerveusement ils ouvrirent la boite, des instructions se trouvaient sur le dessus des vêtements.

Sue sortit les fringues en noires et blancs qu’elle devait porter et lança une culotte en dentelle jaune à Francis. « Il semble que celle-là soit pour toi ».Les deux étaient humiliés mais l’heure des refus était écoulée. Un malaise s’empara de Francis quand il obtint une érection en se glissant dans la culotte. Sue trouva ça étrange mais par amour s’abstint de tout commentaire. Rémi travaillait à son bureau quand Sue et Francis demanda à voir Mr. Moore.

Il resta bouche bée, devant les paroles que prononça son patron. « Francis assit toi là pendant que je m’entretiens avec ta femme. Quand la porte se referma tous purent entendre le clic-clic d’une barrure Sue figea lorsqu’elle réalisa qu’elle se trouvait enfermé avec cet ignoble individu. «

Tu fais un gros sacrifice en venant me rencontrer, mais quand j’en aurai fini avec toi tu connaîtras ce qu’est le plaisir et tu me supplieras pour être ma chienne alors ton sacrifice deviendra celui de Francis mais lui aussi ne le sait pas encore. — Vous êtes très prétentieux monsieur, je suis déjà satisfaite avec Francis et ce n’est pas votre petit bout de viande noire qui va y changer grand chose. — Quand tu sortiras d’ici, j’aurai fait de toi ma nouvelle chienne. »

Tim l’empoigna par sa queue de cheval, la pencha sur le bureau et après lui avoir abaissé son short et ses collants lui administra une fessée dans elle garderait le souvenir longtemps. SLAP – SLAP – SLAP Nooooooonnnnnnnnnnnnnnnnn SLAP – SLAP — SLAP- SLAP – SLAP — SLAP Ouuuaille!

Rémi était mal à l’aise, personne ne pouvait ignorer les raisons de ses bruits. De son coté Francis semblait inquiet pour son amie. « Tu vas maintenant avoir ta récompense salope mais la prochaine fois que tu me fais languir de cette façon tu le regretteras amèrement. — Oui monsieur, ça n’arrivera plus ». Tim regardait le cul rougit, il était fier de son travail, il coucha Sue sur le bureau et entreprit la préparation de sa chatte.

Honteuse devant la réaction de son corps, Sue du malgré elle, reconnaître l’expertise de la langue de Tim. Quand il appuya un doigt sur son anus, s’en était fait des réticences. « Ooooooooohhhhhhh Hoooooouuuuuuuuuuiiiiiiiiiii » quand elle fut à point Tim la ramona d’un seul coup avec son pieu de 11 pouces « Hiiiiiiiiiiieeeeeeeeeeeeeee huuuuuuummmmmmm ooooooouuuuuuuuuiiiiiiiiiii au fooooooonnnnnnnd » Elle fut baisée ainsi pendant plus de 45 minutes pour en fin trouver la béatitude. « Jeeeee viiiiiiiiiiiiiiiiieeeeeeennns Oh Ooouuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiii Eeeeeeeeecoooooooooorrrrrreeee Haaaaaaaaaaaaaaaaaaa. Tim cessa sa pénétration. « Nooooonnnnnn continuez, je veux venir encore — Alors êtes vous prêtes à devenir ma chienne soumise » Les besoins de Sue étaient criants, elle ressassait les paroles de Tim (Quand tu sortiras d’ici, j’aurai fait de toi ma nouvelle chienne).

« Monsieur s.v.p. baisez moi encore avec votre grosse queue, faites de moi votre chienne soumise, je serai obéissante — Voilà qui est raisonnable, demain tu viendras de toi même et je te défoncerai le cul comme il ne l’a jamais été mais avant tu vas m’aider à humilier la mauviette qu’est ton mari et faire en sorte qu’il se soumettre lui aussi.- Oui maître, »

La porte s’ouvrit et Rémi vit Sue les collants déchirés, les seins nus et le short aux genoux venir appeler Francis qui en se levant eu du mal à dissimuler son érection. Sue vit une occasion de plaire à son maître. « Retire ton pantalon et suis moi, ». La porte se referma derrière le couple et Rémi n’en croyait pas ses yeux. » Approche lavette, regarde Sue il est tout excité de t’avoir entendu gueuler comme une salope. Ton amie a été très coopérative et m’a donné de bons arguments pour te reprendre à mon service, je dis bien à mon service alors il reste à faire un peu de nettoyage de ta part pour rendre ton retour officiel. »

Le cœur de Francis s’arrêta aux dernières paroles de Tim, Sue : « Approche mon chéri, viens te prosterner devant notre maître » Sue mit ses deux mains sur les épaules de Francis et d’une légère pression lui fit fléchir les genoux. Francis n’avait jamais vu un membre escort bayan gaziantep de cette taille et encore moins d’aussi proche. Tout gluant de sperme et de cyprine Sue guida la queue entre les lèvres de Francis. « Imagine toi un bâtonnet au chocolat gorgé de crème à l’intérieur que tu as hâte de goûter ». Heurp! Francis faillit vomir mais après quelques minutes, il se montra docile et vaincu, il suça sa première bite.

Sue avait glissé sa main dans la culotte de Francis pour l’encourager un peu et emporté par le plaisir qui montait en lui, ce dernier prenait goût à sa tache. « Tu fais un si bon travail lopette que tu as gagné le droit de mener à terme ce que tu as commencé. »

Sue sentit que c’est mots avaient provoqué une contraction du petit zizi de Francis, serrant sa main sur le gros clitoris de son ami elle dit « Maître, il est prêt! — Bien, ne le faisant pas attendre trop longtemps. » Francis sentit les premiers balancements de hanches de Tim. Sue serra le pénis de Francis, ses joues se creusaient sous les efforts qu’il faisait pour sucer son maître. Tim le gratifia d’une décharge incroyable mais dans son incapacité à tout avaler, son visage écopa. Au même instant Sue l’aida à se libérer dans sa belle culotte de nylon.

Rémi fut horrifié quand il vit sortir Sue à moitié nu et Francis dans une culotte de femme et le visage m’acculé de sperme. « Devant un tel dévouement, je te reprends à mon service. Je vais avoir besoin de quelqu’un pour prendre le poste de directeur pendant que je vais aller ouvrir une autre compagnie à New-York et à un salaire de plus $100,000.00 par année, je préfère avoir plus d’un choix comme candidat pour me remplacer. À l’unisson.ils s’écrièrent « Merci Maître! » et ils quittèrent le bureau.

Rémi fut si bouleversé par les évènements qu’il ne pu en parler à Mélissa. Le lendemain quand Sue se présenta au bureau avec son accoutrement noir et blanc, il fut très intrigué mais Tim dénoua l’énigme rapidement. « Bonjour Sue, que me vaut le plaisir de votre venu? — Monsieur je suis venu vous offrir mes remerciements pour vous avoir montré si magnanime envers mon mari. — Tout le plaisir fut pour moi, je trouve votre tenue parfaite, passé dans mon bureau, nous serons plus à l’aise pour discuter.»

La porte se referma et de nouveau un clic-clic se fit entendre. De sa position près de la porte, Rémi ne manquait rien de la conversation. « Approche salope et déshabilles toi! Tu es venu pour te faire baiser et bien tu vas être servit mais avant, mets toi à genoux montre moi que tu mérites que je te baise comme la putain que tu es — Oui maître, » Rémi travaillait sous une symphonie de Hoooooo! de Haaaaaaaaaaaaaaa! de Huuuuuummm! d’Eeeeencooorrrre et de Ouuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!

Rémi était chagriné pour le pauvre Francis, il avait lu sur internet que lorsqu’une femme allait noir une fois, elle devient une chienne pour noir et ne peut plus revenir en arrière. Il décida de se mêler de ses affaires, après tout maintenant ils étaient en compétition. Rémi devint irrité quand Tim venant souvent jeter un coup d’œil à son travail, en profitait pour prendre la photo de sa femme et y glisser un doigt en disant « Très jolie ».Un jour que Tim caressait la photo de Mélissa et lui dit « Je vais avoir à prendre bientôt une décision pour mon remplaçant et je m’aperçois que je ne connais pas encore ta famille, tu devrais remédier à la situation. Je sais que tu as une belle piscine alors une baignade serait l’idéale pour faire connaissance. »

Rémi ne voulait aucunement le voir dans l’entourage de sa famille mais le poste était invitant et à contrecœur, les mots sortirent de sa bouche. « Bien monsieur, je vais en parler à ma femme — Lui en parler c’est bien mais la persuader d’accepter serait un plus pour toi. » Le soir même il en discuta avec elle et comme elle n’était pas au courant des agissements de Mr. Moore elle trouva l’idée bonne étant donné les conditions de travail que son mari avait obtenu grâce à cet homme.

La semaine fut pénible pour Rémi, la décision avait été prise. Une baignade suivit d’un souper aurait lieu le samedi suivant. Le vendredi, Rémi dit bonjour à Tim en lui souhaitant à demain. Julie lui offrit son plus beau sourire et lui souhaita une bonne fin de semaine.

Depuis une bonne heure tous pataugeaient dans la piscine, Mélissa était mal à l’aise dans son costume de bain un peu ringard. Karina quand à elle portait celui que sa mère lui avait acheté. Les deux étaient gênées en voyant Samantha la femme de Tim déambuler dans son minuscule bikini laissant voir ses formes féminines. Tim n’était pas en reste en portant un petit Speedo moulant outrageusement son organe. Mélissa et l’innocente Karina eurent du mal à éviter que leurs regards ne s’attardent sur l’énorme déformation. Tim surveillait leurs réactions car il avait malicieusement laissé tomber un comprimé d’ecstasy dans chacun de leurs breuvages. La pauvre Karina ne cessa de serrer les cuisses cherchant à entretenir les sensations agréables qui émanaient de sa chatte, elle ne comprenait pas ce qui lui arrivait, quand ses yeux se posaient sur la grosse déformation de Tim, sa chatte se contractait et mouillait son costume de bain. Profondément chrétienne, elle n’avait jamais apporté beaucoup d’importance aux sensations qui émanaient de son sexe avant aujourd’hui.

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La Saga du Cocu Chapitre 02

Category : Genel

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Blonde

Aurélie est la jeune sœur de ma copine Chloé. C’est une jeune fille joyeuse et épanouie qui aime beaucoup s’amuser. Pour ne rien gâcher elle est en plus très bien pourvue par la nature. Elle ressemble beaucoup à sa sœur. 18 ans, plus petite, 1m70 environ, mais les mêmes longs cheveux blonds, les mêmes magnifiques yeux bleus, un visage d’ange, une peau de bébé, une bouche charnue et sensuelle et malgré son jeune âge une poitrine à faire bander un eunuque. De plus en plus consciente de ses atouts elle n’hésite pas à les mettre en avant dans sa façon de s’habiller et se montre même parfois un peu provocante. Même dans sa personnalité, elle sait utiliser ses avantages pour obtenir ce qu’elle veut et en général, personne ne lui résiste.

Bien que sortant avec sa grande sœur, j’avoue avoir plusieurs fois été ému par sa beauté et ce côté femme-enfant qui la rend si craquante.

Chloé et elle sont très proches. Elles se disent tout. Chloé lui a bien entendu, parlé de son aventure avec Souleymane. De la façon dont il l’avait gâtée. Aurélie inexpérimentée dans le domaine était très curieuse de la chose en était très envieuse.

Chloé et moi sommes restés ensemble, je lui ai pardonné. Même si cela ne me plait pas trop je lui aie dit que j’acceptais qu’elle voie d’autres hommes. Elle m’a répondu que j’étais un amour et que sa nuit de folie (comme elle l’appelle) était unique et ne se reproduirait pas. Je sais cependant, que Souleymane et elle se sont déjà revus. Une fois, le doute m’assaillant, j’ai suivi Chloé discrètement. C’est alors que je les ais surpris sortant de chez elle main dans la main. Je dois reconnaître qu’ils formaient un très beau couple. Le grand black musclé et la belle blonde sexy. Les gens se retournaient sur leur passage.

Bien que moi aussi attisé par cette situation, je trouvai que ma position de cocu soumis n’était pas viable à terme. Cela avait trop duré et devait s’arrêter. J’ai donc pris la décision d’aller trouver Souleymane directement chez lui pour lui demander de nous laisser tranquille et de ne plus s’approcher de ma copine. Je ne me faisais pas trop d’illusions. Chloé semblait réellement éprise de lui et sexuellement je ramais loin derrière. Mais il fallait que je tente quelque chose.

La méthode n’était pas évidente, je ne pouvais pas compter le menacer de quoi que ce soit, le rapport de force m’étant clairement défavorable. Il m’aurait mis minable comme la dernière fois. J’ai donc misé sur la diplomatie. Faisant profil bas peut-être aurait-il pitié de moi. De toute façon, il avait eu ce qu’il voulait et n’avait plus rien à gagner.

Je suis donc arrivé devant chez lui un peu angoissé. Mickaël m’avait donné son adresse. Un logement sans charme situé dans une ZUP un peu crade. Des barres, des tours, séparés par de grands parkings remplis de voitures hors d’âge.

À ma surprise il m’a accueilli agréablement. M’a fait monter chez lui et m’a ouvert sa porte. Il m’a reçu avec un grand sourire, une bonne poignée de main comme si nous étions de vieux amis. Un appart classique, déco désuète, mobilier dépareillé, rien d’exceptionnel. Aux murs il avait accroché des masques et des posters africains pour rendre l’endroit plus chaleureux. Dans le coin un évier rempli de vaisselle sale et des boîtes de pizzas vides. Le repère type de célibataire.

— Entre! me dit-il. Il était d’humeur très enjouée et ne m’a même pas demandé ce que je faisais là. Comme la dernière fois, il était très sûr de lui et me prenait de haut. Comme la dernière fois, il a compris que je n’étais pas dangereux. Il en faisait même des tonnes et pour bien me montrer sa supériorité il me fit faire le tour de son appartement en faisant des commentaires bien choisis.

— Fais comme chez toi. Puis désignant tour à tour le petit canapé, le lit, un fauteuil il m’explique en riant :

— Ta copine je l’ais prise ici… là …et là. Il riait en même temps.

—T’as de la chance, elle est vraiment trop bonne! Viens, je vais te montrer un truc.

Il me sort alors sa collection de trophées : Une caisse remplie de sous-vêtements féminins tous soigneusement étiquetés.

— voilà mon loisir préféré. Me dit-il.

— Il y a uniquement des blanches. Des jeunes, bayan escort gaziantep des vieilles et même des mariées m’annonce-t-il fièrement.

— Tu vois, tu n’es pas le seul cocu m’avise-t-il en riant. J’étais, désarçonné et un peu dégouté, l’entrevue n’allait pas en ma faveur. A bien y regarder, la caisse contenait exactement 9 petites culottes et un seul soutien-gorge. Tous étiquetés avec dates et prénoms. Un véritable pervers. Le soutien-gorge appartenait à Chloé. Je l’ai reconnu de suite. C’était celui qu’il lui avait pris chez Mickaël. Sur le lot des autres, un string ne portait aucune étiquette.

— Tu ne le connais pas celui-là hein? me dit –il en me l’arrachant des mains.

— Je n’ai pas encore eu le temps de l’étiqueter. C’est la n° 10! Putain! qu’est ce qu’elle était bonne elle aussi.

Alors que j’avais la caisse sous le nez, je lui lâchai la raison qui m’avait fait venir ici :

— Je veux que tu arrêtes de voir Chloé et que nous laisse tranquille comme tu l’as promis.

Il éclata de rire.

— Tes gonzesses sont de sacrées salopes, y faut pas s’y attacher comme ça. Elles ne sont bonnes que pour le sexe. Je les baise et c’est tout, il n’ya a rien d’autre entre nous. Dit-il en jouant avec le string de la main.

Je n’en revenais pas.

— Mes gonzesses?

Ce string est celui d’Aurélie, la petite sœur de ta copine. Je me la suis faite il y a 2 jours.

D’un coup tout se bouscula dans ma tête, je ne comprenais rien. Sa voix grave et son accent résonnaient d’un coup différemment. J’étais venu lui demande de laisser Chloé tranquille et voilà qu’il me parle d’Aurélie.

— Tu t’es fait Aurélie?

— T’as vu comment elle est gaulée cette pute? Je n’ai pas pu résister. Et elle non plus d’ailleurs.

La nouvelle m’assit d’un coup. Je ne savais même pas qu’ils se connaissaient. Souleymane souriait encore niaisement. Ma tête déconfite lui procurait une telle joie qu’il saisit une chaise s’y assit et me raconta son histoire.

Chloé avait beaucoup parlé de Souleymane à sa jeune sœur. À tel point que celle-ci insistait pour le rencontrer. Elle s’était montré tellement insistante que Chloé fini par lui présenter.

Le coup de foudre fut immédiat. Un séducteur comme Souleymane n’était pas resté indifférent à la plastique quasi-parfaite d’Aurélie tout comme celle-ci n’était pas restée insensible au physique avantageux du beau black.

Ne souhaitant pas en rester là, il est donc passé la chercher dès le lendemain soir à la sortie de son Lycée. Prétextant une justification bidon de Chloé, sans son consentement évidemment. Il n’en avait pas réellement besoin. Déjà conquise, Aurélie l’aurait suivi n’importe où.

Ce jour-là elle était habillée comme les filles de son âge avec un chemisier moulant qui lorsqu’elle bougeait, laissait apparaître une partie de son ventre. Un jean slim lui aussi très près du corps, mettait en valeur sa taille fine et son beau petit cul. Avant de monter dans la BMW de Souleymane, elle a pris soin de défaire un ou deux boutons de son chemisier de telle sorte que l’on devinait le haut de son buste si bien développé et une partie de son soutien-gorge. La présence de Souleymane ne passait pas inaperçue. Le lycée est situé dans un quartier plutôt classe et bourgeois. On y voit pas de gens comme lui. Aurélie monta dans la voiture devant les yeux ébahis de certains de ses camarades. Quand la voiture démarra, elle leur fit un signe de la main comme pour mieux leur signifier leur infortune.

Souleymane qui pensait d’abord la ramener chez lui, n’y tenait plus. Elle l’avait déjà fait sortir de ses gongs. Ce petit manège l’excita tellement qu’il préféra aller au plus court et choisi de la conduire aux baraquements de chantier où il était employé. Même si ce chantier n’était pas l’endroit le plus intime qui soit.

Constatant l’isolement du site et le fait qu’il n’y avait personne, Aurélie le questionna. Sans aller par quatre chemins, et aveuglé par son excitation Souleymane lui avoua le bateau qu’il avait monté simplement parce qu’il avait envie d’elle. Aurélie en était très heureuse, pas vraiment surprise, elle décida de se laisser cim cif gaziantep escort faire.

À peine la voiture garée, il commença à lui caresser la joue, passa sa main droite dans ses longs cheveux blonds. Il posa ensuite son autre main sur les genoux de la belle et remonta lentement jusqu’entre ses jambes. Aurélie impassible, sentait la chaleur monter en elle. Elle se mordillait la lèvre pour résister. Leurs visages se rapprochèrent et ils s’embrasèrent.

Dans un moment de lucidité Aurélie s’est brutalement dégagée.

— Je ne peux pas! Laisse-moi! Chloé est ma sœur, je ne peux pas lui faire ça!

Souleymane lui dit alors qu’il mourait de désir pour elle et ce dès qu’il l’avait vue. Cependant, ne voulant pas brusquer les choses il était prêt à tout arrêter. Juste histoire de dire que dans l’histoire c’est lui le gentleman. Il ne m’a pas raconté comment il a finalement réussi à la convaincre. Toujours est-il que la jeune Aurélie n’a pas pu résister et est rapidement tombée dans le panneau.

Ils sont sortis de la voiture et se sont longuement embrassés devant les Algeco du chantier vide. On entendait autour d’eux les voitures prendre l’échangeur d’à côté. Le chantier était grand ouvert et ils pouvaient être surpris à n’importe quel moment.

Souleymane commença à l’entreprendre plus sérieusement. Enfournant sa langue dans la bouche d’Aurélie, Elle sentit ses grosses mains noires expertes lui tâter les seins et les fesses. Il a continué en l’embrassant sur la nuque et dans le cou. Aurélie lui demandait bien d’arrêter mais plus pour la forme, car elle ne se montrait guerre convaincante. Elle était prête à s’abandonner à lui. Collée contre lui elle sentait son désir monter et sentait très bien aussi celui de Souleymane.

Il était très excité. Il se déshabilla pour montrer son potentiel tout en continuant à l’embrasser. D’abord son tee-shirt puis il retira son pantalon enfin le reste. En un instant il se retrouva complètement nu devant la jeune fille qui n’en demandait pas tant.

— J’ai tellement envie de toi lui dit-il alors.

Aurélie avait déjà gouté au plaisir de la chair avec un de ses copains de classe. Mais là, c’était différent. Souleymane était un homme, un vrai. Elle était à la fois stupéfaite et très attirée par cet énorme pénis noir totalement en érection.

N’y tenant plus, il lui a alors déboutonné son chemisier. Après quoi, il s’est précipité sur son pantalon. À peine a-t-elle pu le dégager d’une de ses jambes qu’il l’a ensuite saisie par les hanches et l’a assise sur le capot de la BM. Comme il racontait la scène, l’évocation d’Aurélie juste vêtue d’une petite culotte et d’un soutien-gorge, me chauffais terriblement.

Les bruits tout autour d’eux les contraignaient à rester aux aguets mais multipliaient aussi leur envie. Aurélie a alors ouvert les cuisses pour le laisser se placer. Mais, il a alors changé de tactique. Il s’est mis à caresser doucement la jeune fille, l’embrassant et lui parlant pour la rassurer. Il s’est longuement attardé sur ses seins dont il m’a confirmé qu’ils étaient exceptionnels.

L’effet fût terriblement efficace. Aurélie, qui n’en pouvait plus, a pris de l’assurance. Elle s’est à son tour totalement déshabillée et a commencé à embrasser le corps de Souleymane. L’anatomie parfaite de la belle le faisait terriblement bander. Voyant cela, elle s’est attaquée à cet énorme pénis si ensorcelant. Elle le porta à sa bouche et commença à le sucer lentement Elle le lécha. D’abord sur le gland puis sur toute sa longueur. De moins en moins hésitante elle s’est progressivement lâchée. Au bout de quelques minutes, elle était déchaînée. Malgré son expérience Souleymane était étonné et ravi de la tournure que prenaient les choses. Comment une fille aussi jeune et inexpérimentée pouvait-elle s’y prendre aussi bien?

Aurélie était en train de découvrir à quel point elle pouvait rendre fou un homme. Elle avait rêvé ce moment depuis tellement longtemps. L’extase était à son sommet au moment où la semence chaude de Souleymane arriva dans sa bouche. Elle eut un réflexe de surprise et se retira à ce moment. Le jet généreux inonda tout cinsel bilgiler son visage. C’était la première fois qu’elle avait cette sensation mais découvrit qu’elle aimait ça.

— Prends-moi encore! lui dit-elle alors la bouche encore pleine de sperme. Inonde-moi encore de ton jus! Son excitation était décuplée.

Souleymane était aux anges. Bien décidé à exaucer sa belle, il l’a saisie par la taille, la souleva et l’allongea sur le capot de la BM. Cette fois, les jambes écartées, Aurélie se laissa envahir. Il ne fallu que quelques minutes à Souleymane pour récupérer et recommencer à bander. Il a alors retiré le string de la belle, dérisoire protection qui le séparait de la fente d’Aurélie. Il mit son sexe en position et commença à la pénétrer. Sa grosse queue eu d’abord du mal à faire son chemin dans l’étroit passage ce qui arrachaient à Aurélie des petits cris de douleur. Le sexe de Souleymane était bien plus gros que celui de son copain et sa technique plus aboutie.

Chaque mouvement de va et vient remplissait Aurélie un peu plus. Après l’avoir eu en bouche elle doutait de pouvoir accueillir cet énorme sexe en elle. Pourtant c’est bien la même énorme queue qui remplissait son intimité centimètre par centimètre, toujours plus loin. Ses seins ballottaient à chaque coup de rein que lui assénait Souleymane. Elle perçue en elle la toute-puissance de l’homme noir et la fin de son innocence. Elle gémissait de bonheur et eu son premier orgasme.

Quand Souleymane éjacula, Aurélie sentie comme un puissant jet décaper l’intérieur de son ventre. Elle ne put retenir un cri d’extase. Souleymane se retira rapidement. Il s’est aperçu qu’ils avaient été repérés par des ouvriers du chantier. Quatre ou cinq hommes de ses collègues, s’étaient approchés toutes affaires cessantes par profiter du spectacle.

Encore sous le choc de sa pénétration Aurélie s’en rendit compte également mais ne put faire d’effort pour bouger. Elle se trouva d’un coup honteuse. Elle chercha ses vêtements pour se rhabiller et se protéger du regard lubrique de ces hommes. Peine perdue, Elle était encore chancelante et sans énergie. De plus, Souleymane était chaud bouillant et voulait montrer à ses copains ce dont il était capable. Il attrapa alors Aurélie et la retourna. Pliée en deux, face contre le capot de la voiture, elle offrit ainsi malgré elle son beau petit cul à Souleymane et sa poitrine aux autres spectateurs. Elle supplia Souleymane d’arrêter. Mais il la pénétra de nouveau sous les encouragements des autres gars. Sa chatte rougie et dégoulinante, il jeta cette fois son dévolu sur le seul trou encore disponible. Pliée en deux sur la voiture, Aurélie hurlait. Les spectateurs frappaient dans leurs mains et sifflaient au rythme des à-coups de Souleymane. Certains avaient même la main au pantalon

Après avoir éjaculé encore une fois, il se retira sous les applaudissements des mecs. À peine repu, Souleymane pouvait certainement encore continuer. mais il cessa leurs ébats. Le contremaître venait d’arriver à son tour et fit dégager tout le monde. C’était un type d’une cinquantaine d’années outré par ce qu’il venait de voir. Il n’en revenait pas de voir cette magnifique jeune fille s’offrir ainsi.

Aurélie était honteuse et se sentait humiliée. C’était sa première sodomie et c’était aussi sa première en public. Cela commençait à faire beaucoup. Elle se rhabilla. Enfin presque… Souleymane me brandit encore sous le nez fièrement le petit string rouge me prouvant ainsi qu’il avait en plus prélevé son souvenir. Il la raccompagna et la déposa devant le domicile de ses parents le corps poisseux à la fois de leurs sueurs et du sperme de son amant.

Quel veinard ce salaud! Pensais-je. Son histoire m’avait complètement retourné. J’avais moi-même commencé à monter le chapiteau. Il me confia alors que faire l’amour à une fille devant son copain et à une autre dans un lieu public étaient les deux expériences qui l’avaient le plus excité. C’est ainsi qu’il me proposa de recommencer. Il voulait rappeler Aurélie ou Chloé ou même les deux et m’offrit la possibilité de les regarder s’accoupler.

Je commençais à comprendre sa sympathie à mon égard. Ce pervers avait bien une idée derrière la tête. Baiser des filles était son loisir mais grâce à moi il avait entrevu quelque chose d’encore plus excitant : Le faire en étant observé. Se donner en spectacle.

Que pouvais-je faire? Ce type était plus fort que moi, il venait de se taper les deux femmes que j’appréciais le plus. J’ai évidemment refusé l’invitation et quitté les lieux en pleurs humilié et honteux.

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Histoire Africaine 05

Category : Genel

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Amateur

Anne et Paul se sont mariés deux jours plus tôt, pour régulariser leur résidence dans le pays. Ils décident de visiter le pays voisin, en guise de voyage de noces.

Ils ont loué un chalet à proximité d’une réserve animalière, près d’une grande ville.

Ils ont choisi cette solution pratique de louer un petit chalet dans une banlieue tranquille.

Ils dorment tranquillement dans leur lit quand ils sont réveillés, vers deux heures du matin, par une troupe de quatre jeunes désœuvrés désireux de se faire un peu d’argent rapidement. Maintenus, ils sont rapidement immobilisés par des cordelettes.

Pieds et poings liés, attachés solidement aux quatre montants du lit, ils sont incapables de se défendre.

Deux des voyous, plus âgés, commencent à saccager l’intérieur du chalet, à la recherche de tout ce qui a de la valeur.

Les deux autres, semble-t-il un peu plus jeune, restent près du lit.

Les deux jeunes mariés dorment nus, le pubis imberbe d’Anne semble les intriguer.

Le jeune qui se trouve près de Paul remarque son sexe recroquevillé de peur, il lui donne une chiquenaude accompagnée d’un commentaire incompréhensible dans sa langue, ce qui fait rire les deux salopards.

Il recommence à plusieurs reprises, secouant du bout de l’index le zizi qui se ratatine de plus en plus, ils en hurlent de rire.

Le jeune voyou qui se trouve du côté d’Anne ne reste pas inactif. Il se caresse le sexe par-dessus son pantalon d’une main, il laisse l’autre main errer sur le corps nu et offert à sa convoitise de l’épousée.

Du bout des doigts, il caresse l’air absent, le mamelon gonflé, la gorge diaphane, les lèvres pulpeuses, puis se décide à empaumer et à palper le sein ferme et arrogant. Elle se tortille, impuissante à échapper à la main baladeuse, qui caresse son ventre et descend encore. La main atteint le pubis, ses doigts jouent avec le clitoris, une étrange langueur s’empare d’Anne.

Brusquement, l’index fouineur s’immisce dans sa grotte, ça lui arrache un cri de surprise et de douleur mélangé. N’ayant pas été suffisamment préparée, elle est sèche, l’introduction brutale du doigt a été douloureuse autant qu’inattendue. Hors le gars a de la suite dans les idées, il s’acharne à lui doigter la chatte sous les commentaires probablement salaces de son copain qui secoue la bite de Paul. Anne ne reste pas insensible au traitement infligé, sa respiration s’accélère nettement pendant que sa grotte s’humidifie.

Le jeune agresseur retire son doigt pour le porter à son nez, le sentir, puis à sa bouche pour le sucer. Il émet un commentaire à l’attention de son pote, mais celui-ci ne l’écoute plus, inquiet par le calme revenu à l’intérieur du bungalow. Il s’absente pour rejoindre les deux autres qui cherchent un butin dans le logement.

Le jeune restant détache un des pieds d’Anne pour approfondir l’exploration de sa petite chatte blanche.

Il s’est installé sur le matelas, entre les jambes écartées de la femme sans défense, alors que son mari est allongé à côté d’elle.

Le voyou sourit en caressant le corps nu et sans défense de la mariée, pendant que son mari, à côté d’elle se tortille et gronde en redoutant ce qui va se passer.

Sa femme est offerte, allongée nue sur le dos, jambes écartées, ce qui l’inquiète le plus c’est qu’elle subisse cet homme devant lui, impuissant à la défendre.

Il est hors de question que ce malfaiteur rentre son bâton de chocolat dans son vagin et l’imprègne de sa semence.

Elle espère que le maigre butin, qu’ils trouveront dans le chalet, autant que le désir de fuir au plus vite le lieu de leur forfait, lui permettra d’échapper à la concupiscence de ce voyou, qu’il se contentera de quelques attouchements.

Même si cela la fait enrager de perdre l’argent du voyage et ses bijoux, elle préfère cela plutôt que de subir cet homme, qui se penche sur elle pour lui téter les seins.

De nouveau, il insère deux doigts dans sa grotte qui s’humidifie, le pouce presse son clitoris, sa bouche mâchonne ses tétons qui se dressent.

De nouveau, sa respiration se fait difficile, son mari à côté d’elle l’exhorte à résister à son agresseur.

Elle pense bravement qu’elle ne veut pas devenir une statistique du taux de criminalité dans ce pays frontalier au leur.

– Plutôt mourir que de céder à ses avances! L’encourage son Paul.

Mais déjà son tourmenteur se relève, dégrafe son pantalon et l’ôte. Il doit penser qu’il l’a suffisamment préparée, qu’elle est désormais prête à l’accueillir, mais quand elle découvre l’énormité qui pend entre ses cuisses, ses yeux s’agrandissent de terreur, le souffle lui manque.

Elle pense qu’un engin pareil ne peut pas exister, surtout que ça ne pourra jamais entrer dans son puits d’amour. Paul n’a pas un jouet d’enfant entre ses jambes, cependant comparer à ça, elle va le sentir passer.

Paul est au désespoir, il murmure ( Non, pas ça, vous allez la tuer)

Le jeune gars, plein de vigueur, s’installe à nouveau entre les jambes de la mariée, défiant d’un ateşli gaziantep escort sourire le marié, il le dévisage d’un air goguenard. Il lui dit quelque chose dans son dialecte, il présente son infernal engin aux portes du paradis.

Il semble que l’agresseur est plus intéressé par la réaction du mari que par celle de la femme. Il continue de le dévisager en souriant au lieu de s’occuper de la femme qu’il compte fertiliser.

Bien que sa bite ne soit pas totalement rigide, cela ne semble pas le préoccuper, il saisit fermement le manche de son outil, il commence à pousser pour franchir le barrage des lèvres de la moule qui tentent de lui résister.

Anne souffle fort, résiste les yeux fermés, encouragée par Paul, peine perdue, d’un coup de rein puissant, le mécréant enterre d’un seul coup la moitié de son membre dans la chatte blanche.

Anne pousse un hurlement de douleur, c’est le moment que choisit l’autre jeune salopard pour faire sa réapparition dans la chambre, en gueulant comme un putois.

Apparemment, les deux autres, plus expérimentés, à la vue du maigre butin, ont préféré prendre la fuite en laissant en plan les deux jeunes imbéciles. S’ensuit une discussion, brève, mais animée, entre les deux agresseurs, c’est semble-t-il celui qui chevauche la femme qui a le dernier mot. vraisemblablement, il a réussi à convaincre l’autre de se payer sur la bête, c’est à dire de baiser la femme blanche avant de foutre le camp.

Il commence à baiser sa victime, s’enterre de plus en profond dans la chatte, épiant ses réactions.

Au début, c’est douloureux, puis petit à petit, la nature fait son œuvre, la grotte s’est humidifiée, le souffle de la femme s’est intensifié, apportant quelques gémissements qui ne sont pas causés par la douleur.

Son membre est tellement différent de celui du mari, tellement plus long, tellement plus gros. En plus celui-là ne porte pas de préservatif lubrifié, le contact sur les parois du vagin est totalement différent.

Quand cette énorme queue coulisse entre ses chairs, le contact peau contre peau envoi des petites décharges électriques dans ses terminaisons nerveuses, Anne replie sans pudeur sa jambe libre pour faciliter la pénétration.

Elle tourne la tête pour voir si Paul s’aperçoit de son abandon, mais le pauvre homme a bien d’autres chats à fouetter.

Le deuxième voyou a ,lui aussi, ôté son pantalon, il se masturbe tranquillement sous le nez de Paul, très près de sa bouche, il se tortille, inquiet, se demande si ce type n’est pas homosexuel.

Tranquille de ce côté-là, elle s’installe aussi confortablement que possible en essayant de tirer profit de l’assaut qu’elle subit. Le gaillard la baise fort, il est grand et vigoureux, le lit tremble sous ses coups de reins puissants, les gémissements de la femme se mêlent aux grincements du sommier.

À côté, Paul, que le second bandit a laissé tranquille, se met à bander en entendant Anne céder à la convoitise.

Elle aimerait tendre sa main pour branler son mari, la lui sucer pour lui signifier son amour, qu’elle l’aime, malgré qu’elle apprécie beaucoup ce que ce salopard lui fait subir.

Hors elle ne peut pas, ses mains sont attachées au-dessus de sa tête.

Par contre, le sexe de son baiseur commence à produire son effet, alors elle lève haut sa jambe libre, posant son pied sur les fesses de l’homme pour l’encourager à plus de rudesse, en oscillant du bassin pour accentuer les coups qu’elle reçoit.

Oh, oui, c’est mieux. Bien mieux même, en accélérant sa cadence, il peut mieux la pénétrer, pour elle aussi, c’est meilleur, car à présent sa chatte en ébullition est sollicitée sur toute sa profondeur.

Paul ne peut que constater les dégâts qu’il a occasionnés en partageant Anne avec ses amis, à présent, elle se fait prendre sous ses yeux, baisée par un jeune africain au sexe disproportionné, sans qu’il puisse y participer.

Elle devient vraiment bruyante maintenant, ses gémissements couvrent les grincements du sommier parce que le jeune étalon la baise si fort et si profond que le mari pense qu’elle aime être violée.

La vérité est plus complexe. Sa femme a cessé de s’inquiéter de ce que pense son mari, l’esprit totalement accaparé par les nouvelles sensations que lui procure cette bite surdimensionnée qui la prend à cru. Elle apprécie le moment, pensant pouvoir lui expliquer plus tard qu’elle a simulé pour abréger l’agression.

Alors que se forme dans ses reins une houle annonciatrice d’un orgasme ravageur, l’homme noir commence à ralentir, sa queue se tend encore plus, elle crache ses jets de sperme fécond au fond de l’utérus fertile de l’épousée.

Elle est à la fois inquiète d’être imprégnée, en même temps frustrée de ne pas avoir eu le temps d’exulter.

Si cet imbécile avait pris son temps pour la préparer correctement au début, elle aurait probablement eu la possibilité d’éprouver une jouissance plus forte là, c’est le fiasco complet.

Pourtant, elle bakımlı gaziantep escort peut le sentir palpiter encore en elle, tellement présent qu’elle essaie de redémarrer la machine en ondulant des hanches, en frottant son ventre contre le sien, en utilisant son périnée comme une pompe aspirante pour tenter de l’aspirer.

Impressionné par le désir qu’exprime ouvertement la femme blanche, il reste en elle un peu plus longtemps, comme s’il comptait la baiser deux fois de suite.

Il bouge ses hanches, cependant son braquemart mollit, maintenant qu’il s’est vidé les bourses, il prend conscience du danger qu’il y a à trop traîner sur les lieux de son forfait.

Même avec sa bite en débandade, il reste beaucoup plus envahissant que ne l’ont été les autres partenaires que Paul lui a fait connaître.

Pendant qu’il se retire d’elle, l’autre homme se présente déjà, la bite à la main, prête à servir. Ils se parlent dans leur dialecte, ils rient. Impossible de savoir de qui ou de quoi ils se moquent, car leur regard va de la chatte exposée et dégoulinante de foutre d’Anne, à la queue en érection de Paul, dépité et jaloux, de ne pas pouvoir participer.

Le deuxième vaurien détache la seconde jambe de la mariée avant de s’installer entre ses cuisses ouvertes. Il a parfaitement assimilé le manège de la blanche si coopérative, il pense qu’il s’amusera davantage en la libérant un peu.

Le premier homme s’installe sur le pas de la porte pour surveiller les alentours en cas de danger, il ne quitte presque pas des yeux son pote en train de se mettre en position pour baiser la femme blanche. Son regard envieux en dit long sur son désir de remettre le couvert, de baiser encore une fois cette petite salope blanche si bandante.

Le deuxième est équipé d’un sexe encore plus monstrueux que le premier. Pas plus long, mais encore plus épais. Aussi gros que l’avant-bras d’Anne, dira-t-elle plus tard à la police qui l’interrogera.

Paul voit l’impressionnant gourdin se balancer à l’horizontale, il murmure : – Mon Dieu, il va l’esquinter avec ça.

En sentant le gland turgescent se présenter à l’orée de sa grotte gonflée de désir, Anne replie ses jambes en les écartant aux maximums pour faciliter l’introduction. Contrairement à ce qui s’est passé pour le premier, elle n’a plus aucun désir de résistance, elle ne veut que prolonger les sensations que lui procure un gros braquemart noir en train de lui ramoner sa chatte de blanche.

Il prend son temps, dévisageant d’un air narquois le Paul, juste à côté, qui regarde la chatte de sa femme se faire distendre par un énorme braquemart noir.

Le pauvre Paul referme ses yeux pleins d’amertumes, lorsqu’il entend sa femme gémir et haleter pendant l’introduction du mandrin dans sa grotte d’amour.

Heureusement que le passage du premier baiseur a laissé beaucoup de lubrifiant et de mouille mêlée, parce que le deuxième est encore plus gros, peut-être même à la limite du supportable.

Bien évidemment, plus épais, elle est consciente de chaque sensation que cette bite lui procure. Tellement serré dans l’étroit conduit, il draine les parois de la vulve derrière lui.

Il met beaucoup d’énergie pour fouiller la femme haletante, gémissante, geignante sous la force de ses coups profonds.

Il est en train de lui couper le souffle, Paul convaincu qu’elle apprécie, qu’elle se donne, bande plus durement sans pouvoir se branler.

On peut supposer que le fait d’avoir entouré les reins de son baiseur avec ses jambes et d’onduler du bassin comme elle le fait, donne un indice à Paul sur ce qu’elle peut ressentir.

Pour être honnête, encore une fois, elle a oublié la présence de son mari à ses côtés, elle se concentre sur les émotions que lui procure ce jeune étalon plein de vigueur. Elle espère seulement que celui-ci durera assez longtemps pour pouvoir jouir enfin.

Ça y est, ça arrive. Une lame de fond, si dure, tellement intense. Quelque chose qui balaye tout sur son passage. Elle ne peut retenir son cri de joie. Elle bloque le mouvement de va-et-vient de l’homme allongé sur elle. Elle le retient au fond de son puits d’amour, frissonnante de plaisir. Son baiseur relève la tête pour la dévisager, il sourit, puis pose sa bouche sur la sienne. Ils échangent un long baiser passionné, un baiser d’amour.

Impossible maintenant de convaincre Paul qu’elle a simulé. Il sait. Elle a éprouvé une jouissance, une intense jouissance dans les bras de cet homme noir.

Mieux encore, ils recommencent. Leurs bouches soudées dans un long et profond baiser à quelques centimètres de ses yeux de Paul, le couple adultère recommence les ondulations du bassin pour se donner encore plus de plaisir.

Il est possible que ce soit l’orgasme de la femme, ou ce baiser langoureux qu’ils échangent, ou même la bandaison de Paul, ou l’ensemble des trois, le jeune noir ne peut pas se contenir.

Il entame une ascension irréversible. Après plusieurs coups de rein saccadés, bayan escort durs et profonds, chacun fait grogner la femme, il se libère dans le conduit étroit et fertile d’Anne.

Tellement énergique, tellement abondant, tellement érotique. Quelques coups supplémentaires, elle aurait joui une seconde fois.

Alors, frustrée, elle frotte son clitoris contre le pubis du jeune homme. Surpris, il recommence à pomper, sa queue est encore assez raide pour l’émouvoir. Il se penche sur elle en lui tendant sa langue qu’elle se met aussitôt à sucer amoureusement.

Il n’est pas redevenu vraiment dur. Le moment est passé. Pas de sentiment. Il a baisé la femme blanche. Elle a joui. Très bien. Mais pas de romantisme, il n’est pas là pour ça. En plus, les trépidations de son pote, sur le pas de la porte, lui rappellent que c’est dangereux de traîner ici.

Quand il sort de la chatte blanche, il y a beaucoup de dégâts sur le drap. Cette salope garde ses jambes grandes ouvertes. Sa chatte aussi est grande ouverte. Le sperme dégueule à gros bouillon. Elle l’invite à revenir, à la baiser encore, elle en veut plus de la bite noire.

Elle a aimé la grosseur, la puissance, les sensations, elle est marquée. Quand une femme blanche goûte à la grosse bite noire, elle ne peut plus s’en passer.

Elle le regarde ranger sa bite dans son pantalon, lui, il surveille son regard. Il sait. Il sourit en voyant son regard de dépit quand la grosse bite disparaît de sa vue.

Puis avec un sourire au mari, il saisit les clés du véhicule de location, il est sort en riant.

Anne se demande pourquoi il rit en regardant son mari.

Elle reste allongée, les jambes écartées, la chatte ouverte, dégueulant des flots de sperme.

Au bout de quelques minutes, certaine que le calme qui règne indique que la troupe est partie, elle referme ses jambes, elle se soulève pour regarder son mari. Il la regarde avec un air de tristesse.

Alors, elle voit, à côté de la queue débandée de Paul, une tache de sperme qui s’étale sur son ventre et qui coule le long de sa hanche, tachant le drap. Voilà ce qui a amusé le jeune noir et l’a fait rire. Voir sa femme se faire baiser par de jeunes noirs lui a procuré une jouissance. Sans les mains, sans rien, juste de la voir prise comme une salope, il a joui!

Sa belle verge toute ratatinée a joui de voir sa femme prise par d’autres sous ses yeux.

Pour cette fois, pas de reproche. Je me suis fait baiser, j’ai bien joui, merci et toi aussi. Pendant qu’elle le regarde, sa queue semble se redresser, il ne croise pas son regard.

À force de gigoter, elle réussit à défaire ses liens, elle se dirige vers la porte pour se renseigner.

Un flot de sperme commence à couler hors d’elle, elle doit placer sa main dessous pour le contenir.

– Oui, ils sont partis.

Anne revient délivrer son mari, puis elle se dirige vers la salle de bain pour se nettoyer.

Paul lui crie :

– Tu ne peux pas te nettoyer. La police aura besoin de preuves?

Elle sait de quelle preuve il parle. Le sperme de ces deux hommes noirs qui l’ont baisée. Qui ont éjaculé au plus profond de sa chatte de blanche. Le sperme qui peut la mettre enceinte.

Aucun doute possible, si elle tombe enceinte, c’est pour avoir un bébé métis. Est-ce que le Paul veut qu’elle soit enceinte?

Elle chasse cette idée loufoque, elle, crie à son mari :

– Alors, appelle la police!

Elle ne veut pas que quiconque sache, elle ne souhaite pas avoir à raconter, à subir les regards, elle regrette la perte des bijoux et de l’argent, c’est tout. Elle désire qu’on la laisse tranquille.

Peut-être à cause des bijoux et de l’argent, Paul appelle la police. Il ne se soucie pas de la dignité ou de la honte. La différence, c’est qu’il n’est pas l’instigateur de cette baise et qu’il n’a pas pu participer comme à l’habitude.

Elle ne sait pas quoi faire de tout ce que les violeurs ont laissé en elle.

Son mari ne veut pas qu’elle se vidange dans une coupelle et prenne un bain. Elle se sent sale, alors elle va s’étendre à plat dos sur le lit.

Ainsi, s’ils veulent un échantillon de sperme, qu’ils se servent?

Heureusement, Paul a parlé de viol au téléphone, une policière est arrivée avec un kit de protection pour le viol.

Elle est entrée dans la chambre escortée d’un jeune gars qui a écarquillé les yeux quand il a vu Anne allongée nue, les jambes écartées.

Bien qu’elle soit jeune, la policière savait exactement quoi faire. D’abord parler. Posant sa mallette au sol, elle s’assoit au bord du lit. Elle se tourne vers le jeune policier, qui mate la femme nue.

– Vous pouvez aider les autres policiers à dresser l’inventaire avec le mari de tous les objets volés. Je peux gérer ici.

Lorsque le policier est sorti, elle saisit la main de la femme : – Salut. Je suis l’officier Guafanaho. Ce corps en sueur et cette chatte trempée et collante m’indique que vous revenez de l’enfer?

Anne est soulagée d’avoir affaire à une femme compréhensive : – Je vais bien, je n’en suis pas morte. Je m’en remettrai, je suis solide, vous savez.

– Combien y avait-il d’hommes? Combien d’entre eux sont venus sur vous?

– Deux.

– Seulement deux? Votre mari a dit qu’il y avait quatre hommes?

– Oui, mais deux uniquement m’ont réellement baisé. Les deux plus âgés nous ont volé, les deux plus jeunes m’ont violée.

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Amalia

Category : Genel

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Amateur

bonjour

je m’appelle Helène, et je vis avec une amie d’origine Africaine qui me partage avec les membres de sa famille

Tout a commencé en Guyane ou j’intervenais en temps qu’ethnologue.

J’avais pour mission d’étudier une des rares tribus vivant encore de façon originelle au plus profond de la foret primaire.

Depuis deux ans je vivais au sein de cette tribu, parageant leur quotidien, et leur mode de vie,

J’étais nue comme eux…Al’approche du village lors du premier contact, j’avais abandonné mes vetements à mon guide, qui en avait profité pour me mater sous toute les coutures, ne gardant que de discrètes semelles aux pieds.

Mon apparition dans le village avait causé une grande surprise…ma peau blanche, ma grande taille …Aucune hostilité en revanche

Pour préparer cette mission, j’avais étudié les rudiments de leur langue qu’on savait proche de celle d’autres tribus connues.

Je compris qu’un conseil de village allait être convoqué à mon sujet.

Je me retrouvais donc nue au milieu d’une centaine de paires d’yeux qui m’observaient en palabrant.

après quelques minutes , deux femmes agées s’approchèrent de moi et je compris qu’elles me demandaient ce que je venais faire chez eux…je leur répondis « vivre avec vous comme vous »

Les palabres reprirent et je commencais à m’inquieter lorsqu’une des femmes revint me dire que je pouvais rester pour quelques jours et qu’ils décideraient d’un plus long séjour en fonction de mon intégration.

A ma grande surprise elle me fit comprendre aussi que ma tenue n’était pas correcte pour une femme!

Voyant mon incompréhension, elle me montra la fine ceinture d’osier que toutes les femmes portaient autour de la taille…ce fut ma première leçon sur les mœurs de cette tribu…tenue correcte exigée…

Je vivais donc avec eux depuis deux ans…j’avais mon « vêtement d’osier » et ils m’avaient même donné un nom tribal.

Chez eux, le nom se rapportait à votre physique ..Il y avait le « chasseur à l,oreille coupée » la « vieille sans dents devant »

J’avais été baptisée « la femelle blanche aux grosses mamelles »

Un matin de ma deuxième année de séjour dans la tribu, un des guetteurs vint avertir le village que deux personnes venaient vers nous.

Il nous précisa qu’il y avait le guide qu’ils connaissaient, et une femme « le contraire de la femelle blanche » ce qui dans leur langue signifiait une femme noire..

Quelques minutes plus tard une femme noire en tenue de jungle se présenta à l’entrée du village.

Je m’avançait aussitot vers elle, devinant que j’étais concernée par sa visite.

Je n’avais plus conscience de ma nudité…mais l’intensité de son regard sur mon corps nu me surpris…Ses yeux détaillaient mon corps, s’arrêtant sur mes seins , la fourrure de mon pubis..

« Bonjour, vous êtes antep escort celle que je viens voir »

« ah…bonnes ou mauvaises nouvelles? »

« a vous de voir, vous allez devoir rentrer dans votre université, vos crédits de recherche ont été rejetés..au fait ..je suis le Docteur Amalia X..je dois vous examiner avant votre retour à la civilisation, pour voir si vous n’avez pas de maladies exotiques..»

J’étais trés déçue de la nouvelle…mais il fallait bien que ça arrive un jour..

« suivez moi on va voir ça dans mon carbet »

Je la précédais dans le sentier menant à mon abri quand soudain elle dit : « la vie sauvage vous a réussi..vous avez une croupe superbe!..j’adore le balancement de votre cul quand vous marchez!.. »

Choquée, je ne pu que répondre un vague « merci »

Arrivées à mon carbet, elle remarquat que celui ci n’était constitué que d’un toit de feuilles surplombant mon hamac et une vague table basse.

« ça ne va pas être très intime pour vous examiner »

En effet, les villageois s’était groupés autour de nous, curieux de voir ce qui allait se passer.

Je lui dit que ça n’était pas grave, et que tout évènement dans le village était objet de curiosité.

« Comme vous voulez… »

Elle sorti de son sac à dos un stetoscope, et un appareil à tension et enfila de fins gants de latex.

L’examen commença par des controles de routine..coeur poumons,tension.

Puis elle sorti un thermomètre de son sac.

« penchez vous! »

« heu…il n’y a pas moyen de faire autrement? »

« non! »

Devant sa fermeté, je m’executais et me penchais en avant..

Les villageois autour de nous commençaient à trouver la situation interessante..

Je sentis sa main gantée écarter mes fesses et la fine pénétration du thermomètre.

« 37,5…ça va…allez vous mettre assise sur le bord de votre hamac et écartez les jambes… »

« Mais pourquoi? »

« je dois proceder à un examen gynécologique pour voir si vous ne ramenez pas de mst.. »

« Mais jen’ai eu aucun rapport sexuel depuis que je suis ici.. »

« Peu importe, je dois le vérifier par moi méme! »

Encore une fois , j’obéis..

« Quelle horreur tous ces poils…!c’est d’autant plus dommage que vous avez une vulve magnifique, avec les lèvres très ressorties.. »

Je sentis son index me pénetrer sans douceur…puis un autre doigt…

Ce n’était pas une carresse, mais après deux ans sans activité sexuelle, mon corps réagit malgré moi, et à ma grande honte elle s’en appercu..

« Mais vous êtes gâtée par la nature…vous avez un clitoris géant! c’est rare et précieux! »

D’un index mutin , elle le titillait en souriant, et au lieu de protester, je me mis à gémir doucement..

« relevez vous debout face à moi, je vais examiner vos araban escort seins »

En fait d’examen, ce fut plus des carresses qu’une palpation médicale…et là encore,mon corps réagit malgré moi…mes tétons se dressèrent comme si je frissonnais de froid…ce qui n’était pas le cas..Je me sentais bouillir d’un mélange de honte, d’humiliation et d’un vague plaisir que j’aurais voulu réfréner

Alors qu’elle me pinçait les tétons à me faire gémir, je rencontrais le regard de cette étrange médecin.

On y lisait le plaisir d’humilier, de me donner en spectacle au village entier.

Mais je ne savais comment lui résister.

Après de longues minutes de palpations diverses, elle remit ses instruments dans son sac.

« Voilà, j’ai fini pour le coté médical…pensez vous que je puisse prendredes photos sans choquer vos amis? »

« Oui si vous ne les photographiez pas directement, ils se détourneront de l’objectif parce que pour eux leur âme est volée par l’objectif à travers leurs yeux.. »

« ok pas de problème, c’est vous que je voudrais photographier dans différentes situations de votre vie quotidienne ici.. »

Sans attendre ma réponse, elle sorti un appareil à développement instantané de son sac

Pensant que celà pourrait compléter mon étude, j’acceptai et avec application je pris les poses qu’elle me demandait.

Ayant pris une série de photos , et après leur développement elle me les montra..

Elles étaient en noir et blanc et je fut troublée de me voir ainsi nue dans ces différentes postures alors qu’on voyait en arrière plan les villageois vaquant à leurs occupations en évitant soigneusement de nous regarder.

J’ai entendu certaines femmes vous appeler par votre nom tribal…mais je ne maitrise pas assez leur langue..ils vousont appelé « la grosseblanche »?

« Euh…non …en fait c’est « la blanche aux grosses mammelles »

« Ah… mais c’est très approprié..je vais pouvoir légender mes photos… « la blanche aux grosses mamelles » dans son hamac…,etc… »

« C’est pour une étude ethnologique? »

« Non c’est pour moi, un album de souvenir de ma mission en Guyanne, je dois partir la semaine prochaine et si possible rentrer avec vous… »

Les évènements se précipitaient…!

« Mais quand dois je quitter le village? »

« Demain se serait bien, vous pourriez partir avec moi »

Elle m’expliquat qu’à l’université un débat vif avait eu lieu sur la pertinence de ma mission qui semblait couter cher sans résultat tangible et que j’avais intéret à rentrer au plus tot.

Je passais la soirée à dire au revoir à mes amis indiens, les remerciant de m’avoir si bien accueillie.

Je dus installer un hamac à coté du mien pour le Docteur Amalia..une bonne partie de la nuit, elle me posa des questions très orientées arap escort sur ma vie dans la tribu…Est ce que je m’étais fait draguer…pourquoi je n’avais eu aucun rapport sexuel avec un indien, en avais-je eu avec une ou des femmes de la tribu…ellle insista beaucoup sur ce point…

J’étais hypnotisée par ces questions intimes, et je m’entendis lui répondre que les moments quotidiens de toilette à la rivière entre femmes étaient souvent une occasion de carresses de leur part.

« Et vous avez aimé? »

« euh..oui c’était …délassant »

A ces mots elle rit doucement et s’endormit.

Nous partimes le lendemain par la piste qui était le seul chemin vers la

« civilisation»..

Je marchais sur cette piste en profitant de mes dernières heures dans cette magnifique forêt primaire.

J’étais toujours nue, mon accompagnatrice m’avais assuré qu’elle avait de quoi me vétir une fois arrivées à leur camp de base.

Elle me précédait sur la piste ,marchant d’un pas vif, pressée de rentrer vers le confort…Quand à moi je traînais plutôt..

Ayant pris une bonne avance sur moi, elle se retourna pour m’attendre.

« J’adore le balancement de vos mamelles quand vous marchez.. »

Je me sentis rougir…Dans le village tribal, ma nudité n’était pas un sujet…

Là..je sentais son regard sur mon corps comme une brulure, mais aussi comme une carresse.

J’arrivais à sa hauteur.. « passez devant…je veux profiter de la vue de votre cul aussi… »

J’aurais dû me braquer, protester contre ses mots humiliants…mais au lieu de celà, je la dépassais sans rien dire.

Après quelques heures de marche, nous arrivames enfin au camp de base, installè dans une clairière au croisement de la piste forestière et d’une piste carrossable.

« restez là, je vais vous chercher des vêtements, sinon vous allez affoler tous mes collègues.. »

Elle revint quelques minutes plus tard avec une chemise de brousse et une vague jupe

« ça ira pour l’instant, de toute façon nous rentrons immédiatement sur Cayenne…j’en ai assez de ce pays »

En effet, après de rapides salutations aux autres petsonnes sur le camp, elle me fit monter dans son land rover et nous primes la piste sans tarder.

Le voyage fut très long..ce qui nous laissa le temps de faire plus ample connaissance…Sans m’en rendre compte, j’appréciais son autorité naturelle, la forme de séduction rude qu’elle dégageait.

Je lui fit part de mes soucis d’hèbergement…

« je n’ais aucun point de chute pour me loger en attendant de prendre une réservation pour un vol de retour »

« Ne vous en faites pas pour ça, votre vol a été rèservé par l’université pour dans quatre jours, et en attendant vous logerez avec moi dans le studio qu’ils m’ont attribué »

Après des heures de pistes puis de route plus carrossable, nous arrivames de nuit à Cayenne.

La porte de son studio à peine refermée, elle s’écria : « je ne sais pas vous…mais moi je rêve d’une douche chaude.. »

« Euh…oui, ça fait deux ans que je n’en ai pas pris… »

« ok..! venez on va se prendre une douche entre filles… »

A suivre

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Category : Genel

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Anal

Once again, special thanks to Ciguardian for his invaluable insights and his editing. I appreciate the efforts my friend. All character over the age of 18.

With a weary grimace, Harold opened the fridge, rubbing the sleep from his eyes as he reached for the carton of milk. His fingers didn’t close on the expected object though, with a grunt, he looked to see that it was missing; sure it was there a few hours earlier. Looking up, he saw his daughter, Eileen, standing at the counter. The cold light of the refrigerator illuminated her lush figure, the over-sized t-shirt hiding her growing belly but not her breasts and the hard nipples making large round points in the cotton.

Rubbing his face, Harold took in the sight of her, his body reacting swiftly to the forbidden desires that were never far from the surface when she was around. Her well-toned legs and mouth-watering ass, the cheeks of which peeked out from under the hem of the shirt, all conspired to send the blood to his lower head. His eyes worked higher, to the round swell of her belly. The baby three months in the works, residing just beneath the surface, was the reason she had returned home and thrown the wrench in his plans for the empty nest. Two years out of high school and she was back home, the father of her baby nameless and long gone.

“Looking for something, daddy?” she asked, turning her head to look at him. Her crystal blue eyes locked on his, and she flashed him that lilting smile that made every man think she was considering taking him to bed, not even Harold was immune to her considerable charms.

“Well, I came down for some milk,” Harold said slowly. His voice trailed off as he continued to drink in the vision of her, his cock beginning to push out against the soft material of his boxers, his fingers scratching idly and jostling his growing hardness.

“I’m making some milk,” Eileen joked, her hand sliding over her burgeoning breast, “but it won’t be ready for a while.” She could feel his eyes upon her, the familiar feel of a man looking her over sent the usual thrill through her body, the growing tingle in her pussy not caring that it was her daddy.

“Here let me pour you a glass,” she offered.

Shutting the fridge Harold moved to her side, his hair standing on end as he could smell the soft scents of her shampoo and the lotion she rubbed on her belly. Just being near her was a sweet torture. Three months of exile from his wife’s sweet embrace had taken its toll, and he wasn’t sure how much more he could endure. Eileen poured the glass full of milk, holding it up for him. His hand brushed against hers as he took hold of the glass, and he caught her eyes watching him intently as he took a long drink.

“Mom not being cooperative again?” she asked slyly.

The single grunt that formed Harold’s reply elicited a bright smile from her.

“Oh, poor daddy,” she said softly. “My coming home has put Mom back into deep freeze, huh?”

His growl only made her eyes widen, her suspicions now confirmed. She touched his chest through his t-shirt, and the feel of his muscular body next to her tiny frame made her feel that special warmth, and not the kind a girl usually gets from her dad.

“You know, pregnancy does weird things to a woman’s body.” She began hesitantly.

Harold took another gulp, looking at her questioningly. Pursing her lips, Eileen rubbed her knees together, searching for an angle to scratch the growing itch. “The hormones sort of run wild, and they can drive a girl crazy if she doesn’t have a release.”

“Yeah, I feel you there,” Harold said, finishing off the glass, though he didn’t move away. He stood almost directly over her, trying not to be obvious while he took in the clear view of her tits, the soft skin of her bosom calling out to him hypnotically.

“I bet you do,” she said, her hand coming to rest on top of his. “You know daddy, I’m a woman.”

Harold’s eyes narrowed as he turned to consider her carefully, her words sounding alarms in his head, though he was choosing to ignore them for the moment.

“And you know I’ve had steady boyfriends in the past. Heck,” she patted her growing belly, “I’m pregnant right now. I’m used to certain things and since I’ve been home, well, I’ve been going without, just like you.” Her finger tips traced along the sides of his index finger, the tiny sensation sending jolts throughout his body.

“Baby, your mother–” he began unsteadily.

“Neglects you and has for years,” Eileen whispered fiercely. “I know what goes on, or more importantly, what doesn’t go on, in this house!” In her anger she gripped his hand firmly and then softened, covering his with her smaller hands.

“You have needs, as do I, Daddy.” Eileen lifted his hand up to her lips, kissing it softly before bringing it down to rest in the valley between her breasts. “There is no shame in helping each other out with our needs.”

Harold tried to pull his hand back, but Eileen hack forum held it tightly, not allowing him to escape, as she lifted her eyes to look into his. She could see the desire hidden there, had always felt it in his gaze, but knew that he kept it in check, despite the cold world of denial in which he lived.

“Daddy,” she whispered, molding her body to his. With the soft press of her boobs against his ribs and the smell of her hair filling his nostrils, Harold couldn’t control the way his body reacted any more than he could have controlled the tide.

“Oh daddy,” Eileen cooed with delight, feeling his hardened cock pressing into the soft underside of her belly, “I know exactly what you need.” She slid her hand up his leg, her fingers lightly scratching his inner thigh as she lifted higher, cupping his hefty balls in her hand.

“Eileen, don’t-” Harold said, trying to brush her hand away, but she pressed tighter against him. To reach her hand he’d have to wrap his arm around her, and that would only pull her body closer. He sighed heavily, ashamed that he couldn’t control his reaction, as he felt the last of his will being shredded slowly by her insistence.

“Shh. I’m a mommy now; I know how a daddy needs to be taken care of,” Eileen said softly. “Let this mommy take care of her daddy.”

Closing his eyes, Harold turned so that he was leaning back against the counter, trying to convince himself that he was only an innocent bystander, a victim of circumstance. With her quirky smile set upon her lips, Eileen slid her body against her father’s, her breasts dragging from the lower half of his chest down across his stomach, her nipples burning streaks into his flesh. Harold wondered to which circle of hell he would be relegated for this sin, but, as his daughters hands pulled at his boxers and freed his aching cock, he knew that, whatever punishment he was given, it would be worth it.

“Oh,” Eileen gasped with delight, “it’s so big and hard! I’m gonna love taking care of my daddy!”

Her fingers curled around his shaft, the feel of her touch causing Harold to groan in disbelief. She watched as a drop of clear liquid gathered at the slit, a glob of sweet desire that she couldn’t resist tasting. He felt her tongue swipe over the crown of his cock, his knees nearly buckling with the unexpected sensation.

“Oh, daddy liked that, huh?” she asked, stroking him gently, her fingers sliding across his humid flesh. “Then you are gonna love this.”

Eileen opened her mouth, her tongue pressed forward, sliding along the underside of her father’s cock as she pushed it into the wetness slowly. Her lips relented as the crown pressed against them, her watered anticipation of this act coating him liberally as he slid into her face as easily as if it was a well-juiced cunt. To Harold, the feeling was beyond anything he could remember. His wife hadn’t bothered to give him head in ages, since well before Eileen had entered high school.

She took him in slowly, savoring the delicious sin of taking her father’s cock into her mouth.

The taste and smell of this, the most forbidden of penises, was not something she could rush. She knew she’d do this again, if her father let her, but there would never be another first time. So, with deliberate slowness, she suckled upon her father’s sex, working more of it into her wet mouth in gradual steps. Harold listened to the slurping, felt the suction on his cock, her lips and tongue squeezing and licking at a quick, steady pace.

Breathing deeply through her nose, Eileen pushed forward, her own desire threatening to make her rush through this act, though she tried to tell herself that she was only going faster for her father’s sake. At last the tip of his cock nudged the back of her throat, causing her to cough just the slightest bit. Harold tried to pull back, fearing for his daughter, but she brushed his hands aside, wordlessly assuring him that she was perfectly fine. Taking another deep breath, Eileen stopped sucking and just pressed forward, allowing her father’s cock to slip into her throat.

“Oh fuck,” Harold groaned, never having felt this sensation before. The fact that it was his daughter performing this feat on him made something snap in his mind and he could no longer hold back the explosion that had been growing since he first spotted Eileen standing at the counter.

The spurt of jizz that poured into her throat surprised Eileen, and she pulled back, another blast landing on her tongue and sloshing in her mouth. Stroking her father’s cock, she moved it so that the spitting tip was pressed against her lips, another glob of cum oozing out and coating them before she opened up and licked the slippery seed into her mouth.

Harold huffed and puffed, trying to catch his breath from the most intense orgasm he’d had in years. His mind was numb, unable to believe that his little girl, his pregnant daughter, knew how to do such a thing, and that she had just done it to him. He opened his eyes at last, looking down at her where her satisfied smile made his heart quicken.

“Baby, we shouldn’t have-” Harold started.

“Yes, we should have,” she interrupted again. She seemed to be doing that a lot lately. “And we aren’t done yet.” Eileen took his hand and led him to the couch where she sat down and pulled at him until he sat next to her.

“Baby I can’t do this to you, it’s wrong,” Harold objected. “I’m your father.”

“I know,” Eileen answered simply, taking his hand and placing it on her left tit, pushing his fingers until he was groping her tenderly. “Oh god, I need this,” she moaned. “I’ve been going nuts, dying for you to touch me daddy. Do I feel nice daddy? My titties have been getting bigger since I got pregnant. My bras are getting too small to hold them.”

Harold tried to speak, but the words would not come and he was left with his mouth hanging open as he tried to deny how much he loved touching her this way.

“You knew that, huh? I’ve seen you staring at me, at them,” she squeezed his hand tighter about her tit, “when you think I’m not looking.”

Harold brought up his other hand and cupped her right tit as well, squeezing them and then pushing them together. Their soft roundness, the sweet weight of them, rolling in his hands was more than he could have imagined. Eileen just sighed, closing her eyes and enjoying the feel of her father’s forbidden touch. After some minutes, Harold slid his hand down across her tummy, lovingly caressing the bulge that was beginning to show. He leaned forward and pressed his lips to the top, Eileen sliding her hands through his hair and stroking him as he peppered her with kisses.

“Do you find me sexy, daddy?” Eileen asked. She felt him nod his head, her smile beaming in the darkness. “Am I sexier now because I’m pregnant?” Once again he nodded, vigorously. “I’ve always known that you thought I was sexy. That’s why you hardly gave me any hugs growing up, huh? You were afraid I’d find out your secret.”

Harold just held on to her, his hands clasping behind her back as he hugged her tightly. His mind reeled, “How could she have known?” he wondered. He’d tried so hard to hide his feelings, but apparently he was easier to read than he had guessed. In his attempt to protect her from his deviancy he had pushed her away, possibly causing her to seek out destructive relationships like the one that had left her pregnant and alone.

“It’s alright, Daddy,” Eileen whispered, her fingers still sliding through his hair as she leaned to kiss the top of his head. “I’ve known, for years, what I do to you. I longed to be more than just a daughter to you, but I saw how hard you fought against it, so I never made that move. Now? Now, I see that we need each other more than ever – and I’m not gonna let you suffer alone anymore!”

Harold looked up and knew that, at that moment, his fate was sealed. Eileen looked down at him and, even in the darkness he could see the fierce love in her eyes, not just that of a daughter, but of a woman. She pulled his face close and her lips pressed against his, her mouth opening and her tongue pushing against his lips until he relented and let her in. It was the kiss of a long-lost lover, suddenly found, and the fear that they might slip away again made it desperate and harried. Whimpering, she pulled at him, tugging at his shirt until he leaned back and pulled it off in a hurried frenzy.

While he was taking off the shirt she had removed her own. When he looked down, she was sitting before him, naked except for the boy shorts that she wore.

“Take me, daddy. I’m yours, make me yours,” she urged, turning to the side so that she was lying lengthwise on the couch. Her thighs rubbed against each other unconsciously, once again trying to scratch that itch inside. He could smell her now, strong and pungent, the scent of a woman in heat.

“I want to taste you,” Harold said hoarsely, the words coming out of his mouth without thinking. His wife hadn’t let his face near her pussy in ages. It was something that he had dearly loved to do and now, with his daughter open before him, he couldn’t deny his urge.

“I want to eat your pussy, baby,” he said, looking her in the eyes.

“Okay, daddy,” she whispered, awed that her father would want to do something so intimate with her. She had worried that she might have to work harder to seduce him, but he had come along easier than she had guessed. Lifting one leg, she rested it upon his shoulder, opening her body to him, offering him unrestricted access to her kitty.

Harold’s hands shook as he took hold of the soft, lacy trim of her underwear, the feel of them so feminine that for a moment he was mesmerized. His fingers slid over the flare of her hip, lost in the sight and smell of her, his body reacting once again to their closeness. Looking into her eyes, he was moved by the hunger there, her need clearly written on her face as she waited for him, her father, to take her. Pulling, he slipped the shorts of her body, Eileen lifting her hips so that he could uncover her ass and then he was slipping them off her feet.

Looking down, Eileen had pushed her knees apart, her pussy covered in dark, wispy hairs that curled around the lips, Harold had never seen a more beautiful sight in all of his life. There was a gleam of moisture where she was opening for him, a flower unfurling its petals as the sun came out to warm its soft leaves, beckoning him inward. Kneeling on the floor before her, Harold lowered his face between her thighs, taking a deep breath, the smell of her aroused body washing over him and sending his mind into a whirlwind of colors and emotions as he experienced his daughter in this new way for the first time.

“Oh, Daddy,” Eileen whispered, her hand cradling the back of his head as he dipped his tongue into her slit. The wetness that seeped from her sex was thick and sweet, like honey and wine. She twisted her hips, hunching her pussy against his exploring lips, covering her father’s face in her cream as he swiped at her clit before diving into her opening.

Eileen’s moans and whimpers were punctuated by the loud slurping of her father feasting on her cunny. Three orgasms racked her body, forcing her to bite into the pillow to keep from crying out loudly and possibly waking her mother, before she finally pushed her dad away, unable to take his oral assault on her pussy any longer.

“I want to eat you more,” Harold said, his voice regaining some of the firmness that she remembered as a child, the tone he seemed to have lost in the last ten years or so.

“I know,” Eileen said sweetly, “and you will. But right now Daddy needs to fuck his little momma. I need your big, hard dick in my cunt.” Her words had cut through his haze, the curse words making him flinch coming from her sweet mouth. “You do want to fuck me, right?” she teased. Sitting up, she pushed him back and reached down between his legs, finding his dick standing straight up and rock hard. “Ahh, that’s what I thought. Daddy does want to fuck his dirty little girl.”

Eileen guided him up onto the couch where Harold sat, staring wide eyed as she backed up on him, her legs straddling his and then she lowered her pussy to his upright rod. Harold’s eyes rolled back in his head as his cock was enveloped by the soaked, velvet grip of his daughter’s sugar walls. Slowly she sank down, letting the weight of her body drive him into her until at last his balls were squished up against the plump cheeks of her ass, their pubic hairs nestling together. He could feel her flexing, the grip of her cunt squeezing his cock in a slow, steady rhythm.

“Oh baby, you are so bad. I love it,” he admitted.

“I knew you would, Dad,” she cooed, leaning back and kissing him deeply on the mouth, their tongues battling back and forth lewdly, their slurps mingling with the wet sounds of their fucking. He lifted her up, giving her room to shift her hips so that she could slide him in and out easily.

Eileen grabbed at her breasts, squeezing them tightly and pinching her nipples until the pain matched her pleasure. Soon the sound of her ass slapping against her father’s stomach filled the room, a counter-rhythm to their gasps and heavy breathing. Harold felt her pussy clamp down on him, signaling her orgasm as she pushed down against him, driving his cock as deep into her as she could manage. As it passed she began to fuck him furiously, her hips a blur as she worked to claim his second load.

“Oh god, baby, I’m gonna cum! You need to get off! I can’t cum in you!” Harold gasped.

“Yes you can, dad,” Eileen huffed. “I’m already knocked up! You can’t get me more pregnant. This is the best thing about being preggers: you can cum in me all you want, and no one will ever know!”

Her words triggered his release, and he pulled her down onto him, his hands holding onto her hips tightly, Harold thrust up and felt his seed rocket from his body, spurting deep inside his baby girls’ gasping pussy. Eileen exploded in another orgasm of her own, their wetness leaking from her and soaking Harold’s lap and the cushion below.

It was a long while before the living room was once again quiet with the sound of their soft breathing. Eileen curled up on her father’s lap, his limp cock pressing into the cheek of her ass as she held onto his neck, cradled in his arms. The smell of their coupling was strong in the air, though neither seemed to mind or had any concerns regarding it.

“You remember how the sewing room and the painting room used to be bedrooms?” Eileen asked without preamble as she held onto her father. Her mother’s crafts had seemed to take over most of the house, her hobbies having obviously become more important than her marriage.

“Yeah, why?” he asked quizzically.

“Well, I’m thinking that we may want to make them into bedrooms again,” she said, chuckling softly.

“We already have a room for the baby,” Harold explained, confused as it seemed he was pointing out the obvious.

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Peeping Son

Category : Genel

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Ass

I’m not sure exactly when it first started. I heard my mother snoring one night. I went in to see if I could quiet her down. There was Mom lying on top of the sheets. There was just enough light for me to see her there. Mom was wearing a nightie. My mother was a little on the heavy side. I thought I could see some pubic hairs showing. I just looked for a few minutes and then went back to my bedroom.

I started to look in on Mom more and more. One night I got a little more bold. I reached out and started rubbing the inside of my mother’s thighs. That was when she woke up.

“What are you doing here Kevin?”

I was so startled I couldn’t even make up a good excuse. My Mom then gave me a surprise.

“I know you have been looking at me during the night,” she told me.

She asked if I was checking to see if she was naked. I didn’t know what to say. Of course I wanted to see her naked body but I couldn’t bring myself to say so. My mother shocked me right then. She reached down and pulled her panties to one side. I could now see her pubic bush and most of her slit. I only had a pair of shorts on and I thought my dick was going to split them open.

“It’s okay, you can say that you wanted to see me naked.”

I think I just nodded my head. At nineteen, I hadn’t had many experiences with females. My Dad was no longer around and it was just my mother and me. I wanted to be on top of my mother right then. I guess I finally took control. I slipped out of my shorts and I let my Mom see my Onwin giriş cock. Mom had her eyes glued to my half erect prick. She reached out and took me in her hand. My mother was stroking me now and making my cock hard as could be.

“Come closer,” she told me.

I stepped closer and Mom moved over to the edge of the bed. She wrapped her lips around my stiff member and she took me deep in her mouth. Fuck did that feel good! Mom was bobbing up and down and it seemed like she was taking me deep down her throat. I was surprised. She had most of my seven inches in her mouth. I could swear she was going right down to the root. It only took a few minutes before I was rock hard. Mom pulled away and then she removed the rest of her night time clothing.

Mom spread her legs for me. She told me to join her on the bed. I slid in between her thick thighs and I began to rub my knob across her folds. That got my mother all worked up. She couldn’t take much more of that. She took hold of my cock and she guided it to her opening. This was it, I shoved my manhood into her tummy. Mom let out this gasp as I was able to feed her every inch of my prick. Mom threw her legs around my back and we began to fuck.

“You feel so big Kevin,” my Mom told me.

I wanted to satisfy my mother in the worst way. I had dreams of this day happening. Now I was completely buried inside my Mom’s pussy. I made sure she would never forget this time. I gave my Mom the longest cock strokes I could produce. I pulled out and then entered my mother forcefully. Our pubic mounds hit hard as I gave my Mom every inch I had. Mom was loud in bed. She told me to go hard and to use her pussy. I did just that.

Mom’s gash was soaking wet. Every time I entered her, you could hear this squishing sound. I watched as her big boobs shook on her chest.

“You’re making me crazy for your cock Kevin.”

That is exactly what I wanted to hear. This was going to be the first time of many. I was going to have my cock in Mom’s pussy as often as I could. I pulled my Mom’s legs free. I pushed them towards her chest. I stretched my body out and I gave it to my Mom as hard as I could. Mom howled as she took my cock and made it hers. I circled my dick around and scraped her pussy walls. Mom was panting hard and I thought she was getting close to letting go.

A few more fuck strokes and we were both at our climax. I told my Mom I was close. She told me she needed to feel me cum inside her pussy. She didn’t need to ask me twice. I fed my cock to my mother one last time and then I erupted inside her vagina. Mom held me tight as I sent gushers of my seed deep into her body. It seemed like I had an endless amount of baby cream to give her. It went on for some minutes before I rested my spent dick in her belly.

Mom was breathing hard, trying to compose herself.

“My God, I haven’t been fucked like that in years!” She said to me.

I finally pulled out. I looked down to see my cum spilling out of my Mom’s slit. Once my mother got herself together she went into the bathroom to clean up. She came back and we held each other.

“My pussy is so sore from the fucking you gave me,” she said.

We fell asleep in my Mom’s bed. The next morning, sore pussy or not, we fucked again. Mom made me hard by stroking me with her hand. Once I was hard enough, she mounted me. She slid down onto my pole and I took her ass cheeks in both hands and I pulled them apart. I have to say that my Mom’s pussy seemed to fit my dick like a glove. She was riding my cock and her big tits were slapping down hard onto her chest.

I did finally reach up and squeeze those ripe melons. Mom told me to pinch her nipples. When I did that it set my mother off. She began to cry out and tell me to pound her pussy as hard as I could. I brought my hips up as my mother lowered her body down. We were getting into a nice fucking rhythm. I did give my Mom more of my seed that morning. I didn’t think it possible but I shot more cream into my Mom’s womb.

Sneaking into my Mom’s bedroom was the best thing I ever did. Mom needs cock practically every day. She tells me she can’t live without me as her lover. One night as I was pumping my cock into my Mom I told her I wanted to impregnate her pussy. My Mom’s eyes went wide.

“You can’t be serious!” She told me.

I told her I wanted to see her belly swell up from my sticky sperm.

“Oh my God!” She kept repeating.

I know she is thinking about what I said. Maybe one day soon she will tell me she has gone off her birth control. Then we can begin to make a baby together.

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PDA with Daddy

Category : Genel

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Amateur

PDA with Daddy while Mom Waits in the Car

“If I was a hooker, how much would you pay?” she asked her stepdad.

Heather sat on the chair next to him taking a selfie with her phone. She knew she looked cute. The black leggings naturally brought out the beauty of her female form, but it was her top she was impressed with. It was a ruffled beige top with a floral design. She had tied the bottom into a huge bow to show off her navel. She smiled as she recorded herself from various angles.

Sitting next to her was her stepdad, Caledon, “wearing whatever” as she called it, unimpressive in his dirty denim. He was holding a clipboard filling out as much information as he could.

“Baby, stop,” he answered her. “Hey, you want to help me out here? This is your application.”

She took one look at the extensive college application and made a face. She looked back at her phone and grinned.

“No, thank you,” she said to him.

She leaned back into him, draping her arm over his thigh. She crossed her legs to show them off along with her ballerina flats in the next selfie.

“Some of this stuff I don’t know,” he whined.

She reached up to touch his face and kiss his cheek but lingered there trying to get them both into the frame.

“At the university with my daddy,” she sang to herself while typing it into her phone.

Caledon sighed heavily. “Major. What’s your major?”

“Lovemaking,” she whispered sexily, but a woman two seats away heard it.

“Seriously, baby,” her stepdad said.

“Cock-sucking,” she said quieter into his ear.

He looked at her. She laughed. He handed the clipboard to her. “You do this.”

She clicked her tongue and sat up straight. She took the clipboard from him.

“Thank you, jeez,” he said, leaning back. He went back to staring at people. He ogled two cute college girls in denim shorts. He stole a glance at the busty receptionist with the cleavage. The receptionist smiled at him. He began smiling back, when he noticed Heather’s hand rubbing on his thigh while she read the documents.

“I’m almost done,” she said to him, looking up from the documents to give him another kiss.

It was a loud “Muah!” smack of her lips. The receptionist looked up. The guy in front of them turned to see. He didn’t see the kiss, but he noticed the girl’s hand on the man’s thigh.

Heather noticed people looking. She added loudly, “One more page, daddy.”

Caledon sighed and tapped his heels nervously. “Great.” He readjusted himself on his seat to accommodate the hard-on that was coming.

She signed the last few papers. “Done!”

She sprang to her feet and pulled him with her.

People watched them as they headed back to the line. She was holding hands with him and swinging them Onwin while she loudly chewed her gum.

“Next,” the receptionist said.

They went to the counter. Caledon turned to leave to let her finish her business, but Heather pulled him back.

“Wait for me,” she whined.

“Sure, sure,” he said.

She leaned on the counter and pulled him closer to her. She handed the clipboard to the receptionist, and then took her stepdad’s arm and wrapped it around her.

The receptionist looked at them with a smile.

“All done, Ms.,” she looked at the applications, “Heather Lynn Reeds?”

“Yup,” Heather answered. “Daddy helped me.”

“Nice of him.”

Heather turned to him and kissed his cheek. “Kiss me back,” she whispered to him. He shook his head. She made a stern face. He bent down and kissed her cheek. The receptionist chuckled.

Heather moved her body, softly grinding her backside into Caledon. He put a hand on her hip to stop her from grinding too much. He looked back at the waiting area. That other man was still staring at them. Caledon gave him a sheepish grin.

“Okay, you’re all done here, Heather Lynn,” the receptionist said. “Cashier’s office downstairs and you’re done.”

“Yay.”

She put her arm around her stepdad’s arm as they headed to the elevators.

Caledon looked up from his phone. “Your mom’s wondering how much longer.”

Heather shrugged.

“I’ll tell her we’ll be out in, what, a half hour?”

She shrugged again and slid up to him, putting her hands on his chest. “Whatever,” she said. She liked feeling his chest muscles and his abs. Construction workers come in all shapes and sizes, but her stepdad was nice and fit. She continued feeling him up until she felt his erection.

“Hey!” he said.

She giggled at him. “Baby’s awake,” she said.

He looked around the hallway and shook his head at her. “No, no, let him sleep.”

She grabbed at his erection again. “Wakey, wakey,” she teased.

She pulled away when a prim college administrator stood next to them waiting for the elevator. When the doors dinged and opened, the two of them situated themselves in the back of the elevator car, his arm around her shoulders, her arm around his back, her other hand still on his chest. He was touching her hair now.

The administrator looked back at them, nodded and smiled. “New student?”

“Yup,” Heather said cheerfully.

“Welcome,” the woman said.

When the woman faced forward, Heather gave his cock another squeeze. He grunted. When the woman looked back, Heather had her naughty finger in her mouth, looking up at the floor numbers. Caledon was clearing his throat.

They arrived at the woman’s floor and she exited. The minute the doors closed, they turned to each other.

“Oh, fuck,” Caledon groaned as he began to wrap his arms around her bare waist.

She yelped and jumped up, knowing he’d have a hold of her. He held her up while her face descended onto his. She kissed him three times in a row on the lips. One arm was holding her. The other hand felt up those ass cheeks so snug in her black leggings he had been staring at during their tour of the school and their waits in the long lines.

“Oh, bumpkin,” he said.

He opened his mouth to let her tongue inside.

He landed her back on her feet. She staggered back to the wall. She put a hand on his shoulder and pushed him down. He squatted down dutifully and put his face between her legs. He could see and feel every bump of her pussy lips behind the tight leggings. He nibbled on them, stuck his tongue in between them, kissed them, rubbed his cheek and nuzzled his face against them, and groaned.

She had a hold of his hair that she liked to stroke, pulling his face into her.

His hands were starting to grab at the elastic waist band of the leggings and tug on them when the door dinged and began to open.

By the time the door slid open, the people waiting for the elevator saw the two of them standing up straight, away from each other, waiting to get off.

“Last stop, right, bumpkin?” Caledon said as she led the way to the cashier’s office.

“Last one,” she said, throwing her hands up in the air, exposing more of her midriff. “And freedom.”

“And you’re going to take these classes seriously.”

She spun around and danced a little. “Sure.”

“That wasn’t convincing, baby.”

At the office, he put her registration fees on his credit card. She stood in front of him, facing him, her back to the cashier, holding his face.

“Can you sign here, miss?” the cashier was trying to say.

“Thanks, daddy,” Heather whispered to her stepdad.

“You’re welcome, baby.”

“And since you’re paying for it, I’ll take it seriously,” she said, kissing his lips.

He kissed back. “You better.”

“If I don’t…”

“Yeah?”

She moved closer as if to tell him a secret. Instead, she cried out, “You can spank me!”

The cashier was about to repeat himself when he heard the last exchange. Heather turned to look at him.

“Sign where?” she asked.

The cashier stammered and couldn’t find his words.

Heather signed the forms. Caledon signed the receipt. Heather wiggled her fingers goodbye to the cashier.

They were headed out the door when she spotted a unisex handicap washroom.

“Here,” she said, grabbing his hand.

“Cool,” he said. “I’ll wait for you right hey!—”

She was pulling him with her inside the spacious bathroom.

“Quickieee!” she said.

Within seconds his pants were around his ankles. Her leggings were rolled down to her knees. She was grabbing the handicap bar on the wall. He was grabbing her hips.

And he was rubbing his cock between her butt cheeks getting harder.

“Ooh, hurry, daddy,” she said to him.

“Getting there, baby.”

She kicked her leggings further down her legs.

He bent her over a little more and drove his cock into her.

“Daddy!” she cried out.

“Oh, God, I’m going to hell,” he said, throwing his head back, pumping his cock into her. “Mother Mary!”

She was also pumping her body back into him, looking at herself in the mirror as she did so.

They stopped when they heard someone jiggle the door handle. It was locked. The person stopped.

Caledon bit his lip.

Heather slowly resumed pushing her body onto his cock. It only took a few seconds for them to get loud again, banging into each other, Caledon holding on to her hips, Heather holding on to the sink, groaning as they fucked.

He jerked out of her and his cum squirted onto the floor as he groaned. He waddled to the sink to wash off his dick. She wiggled back into her leggings and rearranged her top and her hair.

When they were ready, he peeked outside the door, looking up and down the hallway. He nodded to her and stepped out. She stepped out as well.

The college administrator they saw before was walking down the hallway. She spotted them leaving the washroom together. She stopped and gave them a disapproving look. She was about to say something.

Heather bit her lip as Caledon grabbed her hand and walked her quickly out the front door. They ran down the walkway outside giggling. They snaked through the parking lot to find the car.

Heather’s mother was waiting in the driver’s seat talking on her phone as they hurried into the car.

“Go, mom,” Heather yelled.

“Hold on, they’re back,” she said into the phone, sitting up. “I’ll text you later, ok?” She ended the call as Heather and Caledon closed the doors quickly. “How’d it go, you two?”

“She’s registered for spring semester,” Caledon announced.

“Finally,” his wife said as she pulled the car out the parking lot. “Thanks, Cal. She doesn’t listen to me. And she’ll sign up for dormitory as well if the financial aid comes through, cross your fingers.” Mary lowered her voice and took Caledon’s hand while she drove. She added quietly, “And we’ll have the house to ourselves.” She gave Caledon a sideways look and sneaky grin.

Caledon nodded respectfully.

Then he looked back at Heather in the backseat.

Heather grinned back at him and winked and then looked out the window.

But Mary caught the wink in the rearview mirror. She let go of his hand.

Caledon stared straight forward holding his breath.

They drove home quietly.

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Old Family, New Loves Ch. 02

Category : Genel

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Blowjob

Having lived with my mother’s sister, Kate, and her husband Pierce, for several months now, I was still looking for work. They never placed any pressure on me, Patricia, to find a job.

They were constantly loving and helpful. Of course I lived with their idiosyncrasy. They were naturists. They spent virtually all of their time in the large old home they lived in without wearing clothing.

Of course, that was also when their children were home for visits. When that occurred the clothes stayed off. The children, all in their twenties, knew that mom and dad were naturists.

They let me in on it because I was living with them and I was a beloved niece. I was beginning to enjoy the feeling of freedom.

Their home was actually an historic mansion on one of the squares in old Savannah.

I shan’t tell what square, but they were known to be eccentric, as were many of the old families in the city. I joined in the eccentricity. I began living inside without clothes and outside in the walled in veranda. We were all happy in this state and there was never any sexual tension.

I must admit though that I did certainly enjoy looking at them both when they were naked. I may have started late in my life having sex but I was learning and I was enjoying the human body and the way nudity affected me inside. I had to be careful around Kate and Pierce because they kept me very horny most of the time.

Kate was like me having wavy brown hair and rather small but lovely breasts. Pierce was well hung I suppose. I couldn’t be sure because I had never seen a real cock before his except on porn sites on the computer. One couldn’t really expect those sites to be honest.

Actually I had seen him get hard on occasion when he was looking at Kate with what I assumed was lust in his eyes. He never bothered to hide it from me. They were quite open about their sexuality. When they looked at each other that way they would often go upstairs for awhile. I knew what they were doing. I thought it was sweet.

I had lost my virginity to their youngest daughter, Julia. She was my first cousin, and was a lesbian. I think I, myself, was bisexual. I still found myself admiring Pierce’s thick penis. It did stir something in me. Anyway nothing happened between us. And we lived together happily. But I missed the sex that Julia had brought into my life. Unfortunately she lived some four hours away in Athens.

She had not visited again since she spent that weekend here in Savannah. But I had taken my little car and visited her twice now and we had really had lots of fun. She loved fucking me with her strap on. She helped me shave my pussy clean for the first time. Then we both ate each other for about an hour coming all of the time and finally we both squirted. We kept in touch with texts and online. We were the best of friends.

One morning as we were having breakfast at the large dining table Pierce mentioned that Chester, the youngest son, would be coming home for a spell. The economy had finally caught up with him and he, being the first hired at his investment firm in Atlanta, was being let go, at least for the time being. Just like all of their children he had been to my mother’s funeral. That was the last time I had seen him.

Actually the funeral was the first time I had seen any of these folks for years. Mom and I had lived so far away. But anyway it would be good to see another cousin. I felt so alone now having no siblings. Even if Kate and Pierce were wonderful to me.

“Trish, you should remember that Chester has always known about our naturist life style. We started it here at home when all of the children were finished and out of the home either in college or making lives for themselves elsewhere. Except Chester. He was eighteen and still at home for awhile. Anyway he will be wearing nothing as we all will do while he is here.”

That was Pierce letting me know what their family situation was.

“Yes, and we were so happy when you and Julia got along so well. It was good to see your happy faces.”

That was nilüfer escort Kate’s comment on her daughter’s attitude while visiting the last time. I had so enjoyed seeing Julia in the house that weekend. Whenever we were out of sight of the older folks we would touch and caress each other. I missed that.

It was several days later when Chester arrived. I remembered he was one year older than Julia. He was twenty-four years old and I was twenty-two. I happened to be out and Pierce was at work at his law firm. But Kate was there to greet her youngest son.

My day was taken up going out and about looking for work and also taking in the lovely city of Savannah. I loved it. But finally I walked home. I didn’t really need to drive around the central district where we lived because the oldest firms and hotels were all around the area so I could walk.

I entered from the back through the veranda and I saw Chester lounging in the sun. He was wearing nothing and was working on a tan I supposed. I waved at him and he rose up to come greet me. Of course I was fully dressed having just come in from the outside world.

“Little Trish. How are you sweetie? Julia has told me how well you’re doing here. I’m glad you could come live here. It’s so peaceful and the parents are so good for you I’m sure.” He hugged me.

“Hey Chester. Yeah, it’s great here. I’m so glad to see you. Do you know how long you’ll be here?”

“Naw, I’m just hanging here until I can find something. I may move in with a friend down in Florida but I hate to leave the area. I love it here.”

“Well anyway it’s good you’re here. I need to go in and get out of these clothes and take a shower. It was hot today. See you soon.”

Going inside I went upstairs to my room all the while thinking of Chester and how he looked without clothes. He was well hung like his daddy. I could easily see that. And it looked like he was starting to get a hard on while I was standing there. I was afraid he had noticed me beginning to blush.

Anyway when I stripped off I could see how flushed I was. He was so good looking. My pussy was tingling. I climbed into the shower and I grabbed a toy Julia had given to me. It was a rubber dildo that I kept in the shower stall. I needed it now.

As the water cascaded down over my brown hair and my hard nipples I was teasing myself with the dildo. I rubbed it on my clit and then slowly inserted it into my pussy. I did so love having something up my cunt. I pushed it in and then out getting faster and faster until I had the orgasm I wanted.

All the while I was thinking of Chester’s big crotch and the hug he had given me as we met downstairs. My pussy fluids flowed out into the water as I moaned and kept fucking myself until my knees began to buckle. I took out the dildo and sucked on it. Then I rubbed my shaven pussy lips with my hand to catch the juices. I licked it off my hand. I loved the taste of my own come.

Coming out of my room I saw Chester coming up the stairs.

“Hi Trish. You smell great. And you look adorable without clothes.”

He winked at me and the he grinned. Again I felt myself blushing and I knew that he could see it because he laughed and then patted me on the rear and passed down the hall to his room. I supposed he was going to get ready for supper.

Going downstairs I heard Pierce entering the house. He was home from work. I gave him a hug and he ascended the stairs to get cleaned up also. I went into the kitchen to help Kate.

“Oh, hello dear. Could you peel the potatoes for me? I have almost everything ready to start cooking. Did you see Chester? He looks so well doesn’t he? I’m so happy he’s here. He’s still my baby boy you know?”

“Sure Kate. Give me the peeler. I talked to Chester on my way in. He was out catching some rays. He’s a great looking guy. I hate that he lost his job. But he’s going to be okay, I know it. He’s so smart.”

We happily continued working on supper while the men asked if they could help. Of course they couldn’t. görükle escort We had it all in hand. Actually Pierce was in charge of dinner every Sunday. He was quite a good cook. His speciality was seafood which was good because we were right there close to the ocean. Anyway they went into the den to talk until supper was ready.

We all sat down to supper at about seven o’clock. We tended to dine a little later than some around the country. And we took our time. We ate and conversed, enjoying the company. Wine was always served and I often got a little tipsy.

But I had learned to limit my intake to just two glasses of wine. Chester was being very funny making all of us laugh with his jokes and impersonations of some of our neighbors. We were surrounded in our historic district with some very amusing characters.

Cleaning up we all collected supper items and carried them into the kitchen. Most items went into the dishwasher and some were washed by Kate immediately. She pushed us out to sit down and relax in the den while she finished. It was not long before she joined us.

Chester and I shared a sofa while Kate and Pierce were in large easy chairs. The conversation continued for an hour or so and then some of us started yawning and it seemed time to get up to bed. We all went to our rooms. I had made up my mind.

It was after midnight when I got out of bed still without any clothes on. I had started to sleep in the nude here. And I quietly went out and down the hall to Chester’s room.

I saw that a light shone out from under his bedroom door. He was still awake. I could hear something like moaning. I was a little surprised but it didn’t really change my plan. I tapped softly on his doorway. The moaning stopped abruptly.

“Just a minute. I’ll be there.”

Soft footsteps came slowly towards me. I started blushing again as I realized just what I was doing. But my nipples were hard and my pussy was beginning to become wet. The door opened a crack. Chester peeked out.

“Could I come in Chester? I need to talk to you if you don’t mind.”

“Um, yeah. Sure Trish. I was, uh, just listening to music. What’s up?”

He was keeping the door cracked but I could see he had no sleeping clothes on. I decided to be brave and just pushed the door open. I was gratified to see he was naked too. I was even more glad to see his cock was hard. He was trying to hide it with his hands but he had too much to hide. I laughed and he blushed just as I had done earlier in the day.

“Chester. You bad boy. I think you were looking at porn on your computer. I can see it right there on your bed.”

“You’re mean Trish. Silly little girl. So what if I look at porn. I have needs you know? It’s not the end of the world kid.”

“Oh don’t worry Chester. Anyway I can help you if you want me too. Do me a favor. Let me see your penis, okay? I’d love to see it, honest. Let me see Chester. Please?”

He looked at me oddly. Then he moved his hands. His cock sprang up and pointed at the ceiling. His balls were hanging down below. It looked so good and I wanted it so much. My pussy wanted it and so did my mouth.

I had never sucked a cock and I wanted to try. Julia said she did it once but it hadn’t done anything for her. I was hoping it would do a lot for me because my mouth was watering and my pussy was creamy already.

I dropped to my knees on the hardwood floor and grabbed his prick with one hand and stroked it. I looked up into his eyes and he was smiling. That gave me the courage I needed. I took his ball sack in the other hand and gently rolled his nuts, feeling them for the first time.

His prick was growing even harder and longer as I continued stroking it. I leaned forward and saw there was some drops of fluid on his dick head. That must be pre-cum I thought to myself. I shyly stuck out my tongue and licked it off. He shuddered and thrust his dick forward trying to get me to lick more I assumed.

I spit into my palm and began jacking his prick. He was moaning bursa escort and I confidently took the the head into my mouth and ran my tongue around it. He was trying to force more into my mouth, but I wanted to relish this first time. I held him firmly in my hand and squeezed his balls.

I grinned up at him as he groaned with frustration, then I ran my tongue from the base of his prick at the balls up the length of his shaft and then down the other side as I continued stroking the cock that my fingers could barely reach around. Finally I took pity on him and took it into my mouth.

My mouth was full of cock and this time I let him start to fuck my face. He was trying to get all of it into my mouth and throat. I wasn’t sure I could take it all and I began gagging. He let up then started ramming in and out as if he was fucking a pussy.

My drooling lips dripped saliva down him cock lubricating the sucking he was getting and that I was loving to give to him. I loved sucking cock just as I’d known I would from the first time I saw Pierce’s dick dangling around the house.

He was getting more aggressive. He had grabbed my hair with both hands and was now fucking my mouth like I was a cum slut. Maybe I was because it made me come. I knew I wanted to swallow his come just as I swallowed all of the pussy juices that Julia gave me when we were together.

It had seemed like only a minute or two because I was enjoying it so much but he at last began groaning loudly and begged me to take it all as his spunk shot out into my mouth. I wrapped my lips tightly around his cock and he continued squirting come for about ten shots filling my mouth full. I had another orgasm. As I pulled my mouth off of his prick he trembled and I opened my mouth and I let him see I had it all there.

Then I closed my lips and swallowed it all. I almost gagged again because it was the first time. But I took it all and I could have taken more because it was so tasty and creamy smooth. I grinned up into his eyes and he leaned down and kissed my lips and then rammed his tongue into my mouth. I came again as I jammed my fingers up into my pussy and rubbed my clit with my thumb.

Chester helped me up to my feet. He kissed me again.

“Julia was right. You are a tasty little piece. I knew you would be good, but damn girl, you’re great.”

Now I was really blushing.

“Julia told you about us? Really? I didn’t know that.”

“Trish, Julia and I are so close we never keep any secrets. We’re so close that she loves to tell me everything about her conquests of lovely ladies. It makes me jealous sometimes. But now I know exactly what she was talking about when she told me about you. You’re lovely and great at sex. With guys and girls apparently.”

I was looking forward to more fun with Chester. And with other young cousins in this family. Perhaps others would be visiting soon. I went off to bed with good thoughts on my mind and the knowledge that I would have more of Chester when I wanted him.

I awoke in my twin bed with a body tight against my side. I rose up and there was Chester grinning at me.

“You know, sweetie, you didn’t get the whole package when you came to me in the night. I think you need some of my manly charms tickling your little pussy. Don’t you?”

I giggled and immediately was ready for him to attack me and ravish me. I was ready for this. I had lost my maidenhead to Julia. But this would be my first fucking by a guy. And a great guy at that. He crawled up between my legs. I saw something on his prick and assumed it was a condom. But he quickly began kissing me while his hand was guiding his cock into my wet pussy.

Oh, it felt like heaven. So different from the dildos I had rammed up there. It was hot and real and natural. He started humping me and I pushed back taking all of his rod into my tight pussy.

Faster and faster he was going as he grunted and I moaned.

I could only hope that Kate and Pierce wouldn’t hear us as we got more vocal. But the fucking went on and on until I begged him to stop.

I had come enough times. He immediately began filling the condom with his spunk and kept fucking for another minute or two as he finished. Then he left his prick in my pussy and leaned down to kiss me.

I had been right. I could have more of Chester when I wanted him.

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Oh Brother Ch. 3

Category : Genel

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Amateur

I sit in my world of sexually charged self-pity wondering how or what I did to get myself into this predicament. I squeal loudly as John again pounds his swollen member up into the depths of my wet tight pussy a few times and then relaxes; leaving his cock embedded balls-deep within me. Without moving, I feel the strong shaft throb against my inner walls and the bulbous head pulsate with each heart beat. His arms are still wrapped around my back, holding me in place for my brother’s impending assault on my virgin ass.

Through the frightening thoughts of pain, an excitement is building inside me, an excitement I could not quite define. It is definitely one mixed with fear and anxiety. I still have a tremendous orgasm that is lurking, yet it’s subsided temporarily with the perturbing thoughts of an unknown, but soon to experience penetration. I realize there is no turning back, no escape; it is the inevitable.

I shiver suddenly and feel goose bumps cover my skin as Bryce squirts some sort of lubricant in between the tanned cheeks of my ass. I writhe from the cold sensation as the liquid oozes down over the sacred opening, the entrance to paradise, that is driving Bryces’ desire. Now standing behind me, I feel my brothers strong hands clutch both of my fleshy globes and massage them.

“What a gorgeous ass you have sis. It has been the topic of conversation with a lot of the guys at school. It has caused a number of ‘em to walk through the halls sporting uncomfortable hard-ons in their jeans. Now I see why, it’s fucking beautiful.” Then with a laugh he adds, “It will also be a beautiful fuck.”

Slightly spreading my buttocks apart, Bryce begins rubbing the slippery lubricant around with both of his thumbs. I breathe in deeply and jerk my hips every time they brush up against my puckered anus. Over and over again, to John’s appreciation, the sudden movement causes me to thrust my vagina up and down on his solid erection.

I feel the cool liquid run down the crack of my ass and slowly trickle over the lower lobes of my well spread labia. I’m sure John’s balls are feeling the same sensation as the dripping lubricant sets a course downward. I notice now, that Bryce is much more aggressively caressing my anal opening. His thumbs stop, and in tiny circles, massage the small entrance. Each time, my muscles instinctively tighten to fight off any aggressors. The intruders however are persistent and their persistence eventually pays off.

At first I feel an uncomfortable and unusual pressure as Bryce probes a thumb into my ass. As it inches deeper, the pain grows more intense. As he continues to push his thumb, I feel sweat cover my entire body instantly.

“Aaarrrggghhh my Godddd Bryyyyccce, sttttoppppp, pleeeassseee”, I yell as he abruptly pushes his thumb in. “It hurts way too much” I hiss. I quickly discover that a screaming girl only excites a sexually charged guy that much more. I feel the ball of his first knuckle open the super tight orifice and can only barely imagine, what his monstrous cock will eventually do to my small ass.

I feel Bryce slowly and gently move his thumb and then he bursts out with, “Damn John is that your cock I feel? Slide it in and out.” John replies with quick thrusts of his rippled flesh, sliding it in and out of my wet sheath. “Fuck, it is! It feels like its in Brandi’s ass with my thumb. What a fuckin’ trip.” He continues wiggling his fat digit around in the shallow recess of my bowels, spreading the cool lubricant around completely. After a few minutes of his playful probing, the pain I initially felt subsides and I feel an incredible abundance of pleasure building inside.

Without any further warning my pussy muscles spasm, my body begins to convulse, and I drench John’s cock with a sudden orgasm that seems to come from no where. “Oh yeaaaa Brandi,” bellows John. “Drench my cock with your orgasm. Hell ya, I feel your cum running down the length of my cock and over my balls.” He entices my orgasm on, by fucking his dick up into my love tunnel with powerful and continuous bursa üniversiteli escort strokes. To meet John’s thrusts, I feel Bryce begin slowly fucking my ass with his thumb. The pain returns as he thumb fucks my butt, but the pleasure of my continued orgasm, helps me cope with it.

After continuing his violation of my ass with his thumb, Bryce decides it’s time to move to the next step. As John continues to slide his prick in and out of my well-fucked pussy, Bryce withdraws his thumb out of my ass. I instantly feel relief, yet at the same time, an emptiness I have never felt before. He moves in front of my face and feeds me his semi-hard cock. I feel the spongy head pass my tongue and push up against the back of my gullet. It instantly begins to grow as my sensuous lips tightly grip the thick stem. Bryce grabs the sides of my head and without notice, pounds his dick in and out of my mouth.

I feel his cock-head drive past my tonsils and descend down my throat causing me to gag with each lunge. Even with the knowledge on how to deep-throat a nice long penis, the sudden plunging catches me off guard. At the same time Bryce drives his monster past my full ovalled lips and into my tight throat, John pounds his own labia-stretching beast up into my tight quim. My muffled screams vibrate the cock fucking my face, which only causes more intense thrusting. Both guys synchronize their pumping action and for the first time ever, two guys are truly fucking me at the same time. I imagine their two cock heads bouncing together inside me as they meet in the center with each jab.

I feel Bryce’s heavy cum-filled testicles slapping against my chin as he fucks my mouth with long complete strokes. The fat spongy head continues to relentlessly slide in and out of my throat, as his once semi-hard cock becomes steel hard. Again I marvel at the sheer size of my brother’s penis; the thickness and strength. I whimper as John continues to slam his thick salami into my tight pussy. My body rocks back and forth between the two boys as they continue their steady thrusts.

Bryce then stops and pulls his erection out of my sucking mouth. He slowly, teasingly wipes the pre-cum that is now seeping from the tip, across my soft pillowy lips. I instinctively lick them and savor the salty treat he left for me. Again he stands behind me and kneads my ass cheeks. Bryce then slowly, runs his finger around my stretched pussy lips where John’s cock deeply penetrates me. Not moving, I feel John’s hard-on throb deep inside.

Bryce moves back around in front of me and I watch as he squirts lubricant onto his solid cock. He takes his hand and massages the liquid all over his shaft and swollen head. His entire dick glistens with the slippery stuff and I lick my lips at the incredible sight. He continues this process until every inch of his manhood is well covered with the lube. He then again walks behind me. I shiver slightly as I feel his thighs bump up against me. His slick, hard, hot cock shaft lies comfortably in the valley of my two ass cheeks. I feel the whole length as Bryce slides the slippery monster up and down the length of my ass crack. He then takes his hands and pulls my buttocks apart.

I jump as he pushes his cock head up against my tight virgin opening. Instinctively I try to pull my ass away from the hard gate-crasher, but John tightens his grip around my back to hold me in place. “Relax baby, it will be fine,” he states, trying to soothe me. Again Bryce pushes his slick cock forward against my anus. I scream out as I open for him, “Arrrghhhhhh my godddddd Bryyyyyce”.

His plum-like head squeezes its way into my ass. The pain is almost unbearable already. My nailed fingers rip into the carpet below John’s naked body and I hiss through clenched teeth. “Noooooo pleeease noooooo, take it out, pleeeeease,” I beg. Instead of pulling out, I feel Bryce push forward, gradually inching his thick shaft inward. “Arrrrrgghhhh it hurtssss, pleeeeease stttttopppp…” My screams for mercy only escort bayan fuel his excitement. “Just relax sis, it will feel good before you know it,” Bryce states.

I feel the tears well up in my eyes and then slowly overflow and trickle down my cheeks as my brother continues to bury his bone into my bowels. His cock feels more like an arm and fist sinking into me rather than a penis. It feels ten times bigger than I know it is. My ass feels like it is tearing around the edges where the thick shaft is stretching me. Every single movement from both guys cocks now feel magnified, as I experience double penetration for the first time in my life. I search my mind frantically for any thoughts of how this feels good; there are none.

After what seems like hours, I get the relief of feeling Bryce’s pubic hair tickle my ass. The sensation gives me the comfort of knowing his cock is embedded as far as it will go. Pushing completely up against my buttocks, I realize Bryce has his entire nine inches of solid flesh buried in my ass. I scream out as he flexes his cock muscles over and over again, causing his penis to throb deep inside me.

“Oh my fuckin God”, Bryce suddenly yells out. “I have never felt anythin’ so tight.” I feel his cock pulsate within my ass as John begins again to slide his dick in and out of my wet sheath. After a few minutes of savoring the feeling, Bryce slowly withdraws his fat meat until just the tip remains inside. He then slowly pushes back in. Pain again envelopes my entire being as his huge hard rod penetrates my very soul. I scream out loudly for him to please stop but my words echo on deaf ears. I again feel his curly hairs against my ass cheeks. Never in all my life have I been so completely filled by cock. Never has a cock caused me such pain as what I feel now. At the same time, never has pleasure contrasted so greatly with pain as it does now. My juices are saturating John’s member and pouring down his thick throbbing shaft, drenching his balls.

I moan loudly as both guys push their penises into me at the same time. Bryce shifts his position, and now, standing on both feet in a squatted position, straddles my skewered ass. In this position he has much more control over his thrusting. He suddenly begins fucking my ass faster. I feel his long cock slide in and out of my bowels repeatedly.

My screaming mouth is suddenly filled with John’s tongue as he kisses me passionately. Instinctively my tongue mingles with his and swirls around the warm wetness. As Bryce grips my hips with his strong hands, John releases his arms from my back. He now entangles his fingers in my hair and holds my head in place as he continues to kiss me deeply. My muffled screams still fill the room from the heavy pounding my ass is now receiving. John lifts his ass totally off the carpet as he drives his dick into my cunt with more powerful thrusts now. At the same time, Bryce is now fucking my deflowered ass with long steady full strokes. All nine inches of his thick flesh saw in and out painfully as he crashes against my ass cheeks with each shove.

Soon I feel the pain diminish and an unbelievable pleasure overtakes my mind. I find myself lost in a world of absolute ecstasy as these two wonderful cocksmen steer me to my orgasmic destination. As they synchronize their pumping now perfectly, one cock in, one cock out, I feel my body trembling ferociously from my toes up. A sudden rush of heat covers every inch of my skin and I feel my legs go numb as the first of many orgasms hit. My pussy explodes on John’s cock and the juices squeeze out of the tight seal my stretched labia form around his shaft.

I scream out loudly as my orgasm racks my body and turns me into a rag doll. I now realize I am at the mercy of these two powerful men and their two huge cocks. Instead of subsiding, my orgasm just continues. Like an earthquake, my body trembles with many after shocks. John’s cock pistons now with a squishy sound of wet sex as he pounds in and out of my slippery cunt. My muscles contract uncontrollably escort bursa around his rippled shaft, milking his cock.

Both boys continue their cock thrusting pace, fucking me literally harder and faster and deeper than I have ever been fucked. My pussy and ass, now sore, from the relentless motion friction of the two swollen appendages, almost beg for it to end. At the same time, it feels so good I don’t want it to ever stop. I feel Bryce’s balls slap against my pussy with each thrust of his cock and I just know they contain one hell of load of cum.

Suddenly, the two boys begin to scream and grunt that they are going to cum. They quicken their pace to a blur. Again I feel the pain as their two cock-heads punch at my insides, swelling before their final release. Then as if reading each other’s minds, they both stop as the first explosion from both cocks begin. I feel their hot sticky sperm being powerfully shot up into my bowels and my pussy at the same time. One by one their cocks throb and then the warmth of more semen floods my insides. Continuously I feel them empty their balls inside me. The sensation of both their cocks throbbing at the same time inside my two holes again sets off a mind-blowing orgasm within me.

Unable to hold myself up any longer, I collapse on top of John. My whole body spasms uncontrollably as I strain against the incredible explosive episode occurring within me. In their post orgasmic state, I feel the two, once engorged cocks begin to deflate. Bryce pulls out of my tortured ass and I immediately feel his deposited sperm pour out and run downward. John, with his cock still embedded deep inside my cunt, rolls me over onto my back. He tenderly drives his semi-flaccid manhood in and out of my sticky and saturated pussy.

“I just can’t get enough of you babe”, he says to me. “I don’t want to leave such an incredible feeling.” With that said, he again thrusts his cock in and out of me. He continues a slow and melodic sawing of his semi-hard cock for about five minutes, when suddenly, incredibly, I feel his cock begin to harden. I brace myself for what appears to be another round and wonder how much more of this I can take. My pussy is sore from the massive fucking I have already received from Bryce earlier in the evening and since John. I have never in all my sexual life been fucked like this and wonder if I will be able to walk properly for the next week.

Suddenly John brings my thinking back to him, as he thrusts in and out of me at an unbelievable pace. I look down and see his hips a blur as he bounces his ass up and down, driving his new hard-on into me with the force of a racing piston. He clutches my hips and ass and lifts me up off the carpet while driving his manhood in deeper. Oooooooo myyyyy Gooodddddddd, I wail loudly as the head of his cock tears into my depths. Since he filled my throat and then my pussy each with cum earlier, his staying power is just incredible. He doesn’t slow his pace at all and apparently has no intentions of doing so. He just literally wants to fuck me, hard, fast, and furiously.

That is exactly what he does for the next fifteen minutes straight. His huge cock jackhammers into me until I beg him to please cum. My pussy is just too sore to keep going. After a few more minutes he withdraws his long fat dick out of me and with a few strokes, shoots a small amount of semen onto my belly.

I lie flat on my back, legs spread, arms above my head, unable to move at all. I am literally worn out in every sense of the word. My pussy throbs, my insides ache, my ass hurts and my whole body has tiny spasms racing through it. I have for the first time in my entire life been fucked, and fucked real well, by two men; fucked by two men with big, strong, powerful cocks; pussy destroying cocks, who know exactly how to use them. I am drenched from head to toe with sweat. Cum dribbles out of my ass, my pussy and coats my body. I am a total sexual mess.

As I lie there, body and insides throbbing, my mind cannot help but wander through the evening’s events. I look out the window as the darkened night sky outside is beginning to brighten. I realize that hours and hours have gone by while I deliriously went through every stage of sexual satisfaction. I smile with the thoughts of a fantasy that came true, and a taboo that was met head on. I long to know what lies ahead!

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